Intercourts #2 : Keith Bearden, réalisateur de « Train Town » (US2)
Traduction :
Première année de présence au festival :
2005
Une anecdote sur le film que vous (re-)présentez cette année ?
J’ai passé des mois à rassembler les miniatures utilisées dans le film. On m’en a envoyées de partout dans le monde et j’ai couvert mon bureau au travail avec. Mes collègues m’ont pris pour un fou.
Qu’attend(i)ez-vous du festival ?
Rencontrer d’autres réalisateurs venant du monde entier.
Ce qui se passe toujours.
En quoi le festival de Clermont-Ferrand est-il « différent » ?
Le meilleur. Le plus grand et avec cette « french touch ».
Quelle fut votre impression en voyant pour la première fois votre film projeté ici ? Quelle a été celle du public ?
Rien de spécial aux projections, mais quand des étudiants en ville m’ont alpagué avec le titre de mon film à la bouche, ça a été une sensation. J’ai su à ce moment-là que les gens l’aimaient.
Racontez-nous un souvenir d’une édition du festival, présente ou passée.
Il y a toujours une folle soirée où on danse.
Comment imaginez-vous le court métrage en 2064 (dans 50 ans) ?
J’espère que les gens ne feront plus la différence entre court et long métrage. Qu’un grand court soit juste aussi bon et marquant qu’un grand long métrage.