Arrivée à Chavignier… © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Cecilia de Arce (“Une sur trois”) © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Matthieu Vigneau (“Jason Krist”) © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Rencontre des lycéens de la séance scolaire avec la réalisatrice Gabrielle Lissot (“Jukai”) © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Quelques courts allemands © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Introduction à la séance allemande © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Mr le maire Olivier Bianchi au pot allemand © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Photo de groupe au stand allemand © Sauve qui peut le court métrage, Rémi boissau
Interview de Rémi Mazet par LDVTV pour “Vu en court” © Sauve qui peut le court métrage, Rémi boissau
Un petit tour par l’Atelier… Session maquillage © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Un petit tour par l’Atelier… du troisième type ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Un petit tour par l’Atelier… © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Un petit tour par l’Atelier… © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Un petit tour par l’Atelier… © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Un petit tour par l’Atelier… Antonin Perejtatko nous parle de la direction d’acteurs © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Un petit tour par l’Atelier… Silence, on tourne ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Un petit tour par l’Atelier… Même les plus jeunes participent ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Un petit tour par l’Atelier… © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Un petit tour par l’Atelier… © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Un petit tour par l’Atelier… © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Rencontres Du court au long organisées par la Maison des scénaristes © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Atelier Euro Connexion © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Le Coffee corner est ouvert à tous les festivaliers © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Les prospectus s’empilent à Chavignier… © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Fashion week clermontoise : l’indispensable sacoche ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
N’hésitez pas à vous faire tirer le portrait au Trombino ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Vous reprendrez bien un peu de courts métrages ? © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
A la queue leu leu ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Caroline Detournay et Paulina Pisarek (“Free Bullet”) © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Giovanni Aloi (“E.T.E.R.N.I.T.”) © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Emilie Brisavoine au trombino © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Leyla Bouzid au trombino © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Le jury national passe par le trombino © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Tous en route pour le court ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Frédéric Ramade (“La voie rouge”) © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
cécile Paysant (“Wellington Jr.”) © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Petite pause sieste entre deux séances… © Sauve qui peut le court métrage, Rémi boissau
Jean-Marc Rohart (“La danse des mots”) et Rémi Mazet (“Punk à chien”) © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Rencontre de Jean-Marc Rohart (“La danse des mots”) et Rémi Mazet (“Punk à chien”) avec le public au Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Spiros Charalambous (“Den Tha Gerasoume Pote”) et Jeff, notre traducteur © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Jeanik Barot (“Le déserteur”) © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Jean-Luc Dang (“Chalon”) © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Izabela Plucinska (“Sexy Laundry”) et notre traducteur vedette Jeff © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Expresso, what else? © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Aleksandar Radan (“In Between Identities”) © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau