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Dernier verre avec Lucienne dans un monde sans solitude

7 février 2022
Festival, Rencontre avec...
  • Lucienne-dans-un-monde-sans-solitude-RVB

Entretien avec Geordy Couturiau, réalisateur de Lucienne dans un monde sans solitude

Qu’est-ce qui vous a inspiré ce monde sans solitude ?
C’est mon troisième court métrage et le premier était déjà avec Stéphane Caillard qui est pour moi la plus grande actrice de ce monde. J’ai donc voulu créer un univers composé uniquement de jumeaux pour pouvoir l’avoir deux fois plus à l’écran. Ça aurait pu être vrai, mais la réalité est plus étrange à raconter… j’ai une fois eu une grande dispute avec mon meilleur ami qui compose la musique de tous mes films. Dans ce moment triste je pensais au caractère fusionnel de notre relation mais aussi aux paradoxes qui habitent les gens qui s’aiment. De tout ça m’est venu un univers de doubles ; mais du scénario au tournage il y a eu un long moment, cette histoire demandait un financement costaud. 

L’histoire et les personnages sont complexes et ambitieux. Aviez-vous pensé en faire un long métrage ? 
Non. Peut-être au départ, mais j’ai passé tant de temps sur ce film que j’aimerais qu’il fasse sa vie, et moi la mienne. On accorde parfois autant d’énergie à monter un court qu’un long, et je l’ai compris grâce à cette expérience. Entre l’écriture et le tournage j’ai eu le temps de réaliser deux courts métrages dont les tournages ont été financés par mon producteur seul, sans rien demander à personne. C’est une chance très rare et ils n’auraient jamais pu exister de cette façon sans lui, mais il est plus difficile de faire un long de cette façon. Alors quitte à passer du temps sur un film, autant chercher quelque chose de nouveau à explorer.

Vous avez deux films en compétition cette année (félicitations !) Les deux présentent des éléments surnaturels ou de science-fiction. Est-ce un genre avec lequel vous aimez travailler en particulier ? 
Merci ! J’ai grandi avec un goût prononcé pour tout ce qui était interdit. Enfant, quand j’accompagnais ma mère au vidéo club, la section « horreur » me fascinait et je me souviens parfaitement des jaquettes des VHS que j’admirais. J’ai grandi avec Hellraiser, Candyman… Je voulais réaliser des nouvelles versions de ces franchises un peu comme c’est la mode en ce moment, mais c’est déjà fait, tant pis ! Je ferai des films d’amour c’est tout aussi effrayant. Et puis mes trois courts flirtent avec le fantastique, mais ce n’est pas le sujet pour moi, d’autant qu’il n’y a rien d’horrifique. Le cinéma de genre m’a bercé mais avec le temps il m’intéresse de moins en moins dans ce qu’il devient. Pourtant je tarde à me sortir de l’influence qu’il a eu sur moi. 

Parlez-nous un peu du tournage. Était-ce évident de travailler avec ces « doubles » ? 
Ce monde composé uniquement de jumeaux représentait un vrai défi, aussi bien sur un plan technique que pour le casting. C’est pour ça que nous avons pris tant de temps à le monter.  Sur le tournage, travailler avec les vrais jumeaux du film était assez simple, même si en termes de comédie j’étais plus limité, car rares sont les jumeaux acteurs. Il n’y en a que deux dans le film. La matière finale n’était pas évidente à manipuler mais l’immense talent de Sanabel Cherqaoui, la monteuse, a sauvé beaucoup de mes lacunes. Pour le reste nous avons eu la chance de travailler avec Digital District et une équipe absolument merveilleuse. L’actrice principale n’ayant pas de sœur jumelle, nous avons dû trouver des astuces, et évidemment c’est de la post production. Sur certains plans je pouvais voir le résultat en direct sur le moniteur. Pendant le tournage, elle se répondait à elle-même… Décrire précisément les procédés que nous avons utilisé prendrait trop de temps, mais les difficultés techniques qui pouvaient parfois m’ennuyer ont été largement amorties par la virtuosité de Stéphane Caillard. Je pourrai écrire un essai de 3000 pages sur son talent mais ça ne suffirait pas. Pour moi c’est le grand intérêt de ce film ; comment elle arrive à créer ou incarner ces deux femmes qui à l’écran sont identiques, mais dont les nuances de comportement, d’une subtilité et d’une grâce extrême forment subitement deux caractères bien distincts… c’est rare de pouvoir côtoyer une telle intelligence.  

Quelles sont vos influences cinématographiques ? 
Avec l’amour, le cinéma a une importance immense dans ma vie qui s’articule autour de lui depuis toujours. C’est ma nourriture principale, aussi, je me dois d’être curieux. Mes voyages sont donc nombreux et j’essaie justement de ne pas les considérer comme des influences. Pour moi le plus grand c’est Stan Brakhage. Il y a une liberté que j’envie, une beauté plus grande que mes ambitions ; un dévouement qui force l’admiration, c’est très inspirant, mais inaccessible. Dans le monde de la fiction sinon, Bergman, Haneke, Sautet… mais il est plus sage de ne pas considérer ces artistes comme des influences, sinon je ne travaille plus ; et puis mes plus grandes sources d’inspiration ne sont finalement pas cinématographiques.

Quels projets avez-vous pour la suite ? 
Vous l’aurez compris je voue une admiration sans limites au talent de Stéphane Caillard. J’ai donc écrit un premier long métrage pour elle. Il faut peaufiner certaines choses mais c’est presque terminé. C’est une histoire d’amour, d’abandon et d’ivresse ; je pense. J’aimerais un jour écrire un rôle à la hauteur de son talent. C’est un objectif impossible, mais qui promet de me tenir occupé… 

Pour voir Lucienne dans un monde sans solitude, rendez-vous aux séances de la compétition nationale F2.

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