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Dîner avec Sousaphone (Soubassophone)

2 février 2020
Festival, Rencontre avec...
  • sousaphone_rvb-5

 

Entretien avec Flo Linus Baumann, réalisateur de Sousaphone (Soubassophone)

Pourquoi cet intérêt pour le soubassophone ? Vous en jouez vous-même ?
Non, je ne joue pas de soubassophone, ni d’aucun cuivre, mais ces instruments me fascinent. Sans parler de son aspect plutôt comique, il doit falloir une sacré détermination pour jouer d’un instrument aussi lourd et encombrant que le soubassophone. De là, j’ai bien vite imaginé le calvaire que traverse un musicien lorsque son cher instrument ne produit plus aucun son. De plus, cet instrument qui enveloppe littéralement le corps du personnage principal me paraissait une excellente métaphore pour illustrer son dilemme.

Qu’est-ce qui vous a donné l’idée de l’histoire ?
Deux choses. D’un côté, c’est une histoire très personnelle. Mon père, et toute ma famille avec, a beaucoup souffert quand il a été forcé de prendre sa retraite, et en écrivant le film, je me suis surpris à coucher sur le papier beaucoup de questions personnelles – et de réponses. Mais d’un autre côté, mon intention de départ était de raconter l’histoire d’un vide que l’on doit surmonter. Peu importe ce que représente le soubassophone. Ce peut être le vide créatif, l’angoisse de la page blanche, ou encore un deuil, etc. Accepter de perdre quelque chose qu’on aime, c’est un dilemme humain que l’on a tous connu, et quoi que l’on fasse, la seule solution saine est de l’accepter. Je suis attiré par ce type d’histoires et beaucoup de mes courts métrages précédents abordent des thèmes similaires.

Pouvez-vous nous parler du casting ?
Le casting s’est fait tout naturellement, mais trouver huit soubassophones s’est avéré plus difficile que de recruter de bons acteurs à New York ! Qui l’eût cru ? Donavon Dietz, qui joue le rôle principal, avait collaboré avec moi sur un petit projet de court métrage un peu étrange qui se passait en grande partie sur un trampoline géant. Après avoir bouclé le scénario de Soubassophone et décidé de passer à la réalisation, je me suis demandé : « Qui accepterait de porter un soubassophone toute la journée sans me l’envoyer à la figure dès le deuxième jour ? ». Je trouve que Donavon a fait du super boulot, on s’est éclatés ensemble sur le tournage et il a obtenu pour ce rôle le prix du « meilleur acteur » au festival international de cinéma de Sapporo au Japon. Ça valait la peine de porter tout ce poids sur ses épaules.

Votre film est une coproduction suisse et américaine. Pourriez-vous nous en dire plus sur votre parcours et votre expérience de cinéaste ?
Oui, le film a été produit en Suisse et aux États-Unis. Je viens de Suisse, j’ai fait mes études de cinéma à l’école des Beaux-Arts de Zurich, où j’ai ensuite travaillé sur des tournages pour le cinéma et la publicité. En 2012, je me suis installé à New York pour poursuivre mes études à la NYU Tisch, puis je suis resté aux États-Unis. Mais mon but est de réaliser et de produire des films des deux côtés de l’Atlantique. Sousaphone était une première expérience et une première collaboration entre Emily Iason, productrice indépendante basée à New York, et Rajko Jazbec, un ami à moi qui est producteur à Zurich, et qui est aussi le producteur principal du long métrage sur lequel je travaille actuellement, une coproduction entre la Suisse et le Canada dont le tournage est prévu pour 2021.

Y a-t-il des œuvres ou des films qui vous ont inspiré ?
Pour ce court métrage, j’ai été très influencé par les films de Aki Kaurismäki. J’aime son côté sobre et stylisé, et sa façon pourtant si humaine de raconter les gens ordinaires et de parler avec son cœur.

Y a-t-il des libertés que le format court métrage vous a apportées ?
Oh que oui ! Si j’ai fait ce court métrage, c’était principalement pour me libérer d’un scénario sur lequel je bosse par intermittence depuis plus de cinq ans. À certains moments, il y avait plusieurs producteurs sur le coup et j’ai trouvé difficile – et désagréable – de devoir naviguer entre des avis différents. Le film court, pour lequel les enjeux de réussite sont nettement moindres, c’est un format cinématographique formidable pour retrouver l’inspiration et la passion du cinéma, tout en faisant des expériences et en apprenant l’art de la réalisation.

Pour voir Sousaphone (Soubassophone), rendez-vous aux séances de la compétition internationale I8.

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