albéric aurtenèche – Clermont ISFF https://clermont-filmfest.org Festival du court métrage de Clermont-Ferrand | 31 Janv. > 8 Fév. 2025 Thu, 18 Mar 2021 10:56:08 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.5 https://clermont-filmfest.org/wp-content/uploads/2017/10/lutin-sqp-1-300x275.png albéric aurtenèche – Clermont ISFF https://clermont-filmfest.org 32 32 « On vous aura prévenu » – Spéciale festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2017 (6/6) https://clermont-filmfest.org/ovap6/ Sat, 11 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/ovap6/ La société de communication et de relations publiques, Kinic, propose une émission quotidienne, « On vous aura prévenu », qui porte sur le festival international du court métrage. Cette émission est retransmise en direct depuis l’hôtel Kyriad Prestige, situé au cœur du festival entre la Maison de la culture et le Marché du film. La station de radio Variance FM, en collaboration avec la société Kinic, met à disposition ses fréquences (103.7) afin de retransmettre l’émission chaque jour en direct. Le lendemain, une rediffusion vidéo de « On vous aura prévenu », est disponible sur YouTube, le site de Variance FM, les pages Facebook de Variance FM et Kinic, ainsi que sur le site de Fan-Auvergne.com. L’émission se déroule du lundi 6 au samedi 11 février 2017.

Les invités du jour :
– Le réalisateur du film Beyonder III (compétition Labo), Pierre Feytis.
– Jean-Luc Monot, directeur de l’Hôtel Kyriad Prestige de Clermont-Ferrand.
– Jean-claude Saurel, président de Sauve qui peut le court métrage.
– Aurélie Malfroy Camine, de la Commission du film Rhône-Alpes et Stéphane Souillat de la Commission du film Auvergne.
– Albéric Aurtenèche réalisateur de Sigismond sans images (compétition internationale).
– David Reisch, responsable communication à Fan-Auvergne et au Crédit Mutuel Massif Central.
– Jehanguir Byramjee, réalisateur de Lost in Tibet.

]]>
Jour 8 : ciné-piscine https://clermont-filmfest.org/jour-8-cine-piscine/ Thu, 09 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/jour-8-cine-piscine/

Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », Paul Mas, réalisateur de « Children », Frédéric Radepont, réalisateur de « Le sens des choses », viennent présenter les films de la séance F11 au cinéma Le Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Lotfi Achour, réalisateur de « La laine sur le dos » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Fernando Garcia-Ruiz Rubio, réalisateur de « Como Yo Te Amo » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jamie Jones, réalisateur de « The Nest » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Renata Gasiorowska, réalisatrice de « Cipka » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jackson Kroopf, réalisateur de « BobbyAnna » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Joonas Rutanen, réalisateur de « Rakastan Annaa » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

José Miguel Ribeiro, réalisateur de « Estilhaços » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Yujian Li, réalisateur de « Pain in Silence » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Alberic Aurtenèche, réalisateur de « Sigismond sans images » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jesus Reyes et Andrés Porras, réalisateurs de « Genaro » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jeroen Ceulebrouck, réalisateur de « Antartica » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Ewan Jones Morris, réalisateur de « This Far Up » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Isabelle Putod, réalisatrice de « L’exilé du temps » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Chris Shepherd, réalisateur de « Johnno’s Dead » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Lotfi Achour signe l’affiche du Rio © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Lise Akoka et Romane Gueret, réalisatrices de « Chasse royale », Fabrice Le Nezet et Jules Janaud, réalisateurs de « Animal », Lotfi Achour, réalisateur de « La laine sur le dos », présentent les films en compétition nationale F10 au Rio © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Rencontre Talents en court Adami-CNC © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Rencontre scolaire avec Stephan Castang, réalisateur de « Panthéon Discount » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Rencontre scolaire avec Stephan Castang, réalisateur de « Panthéon Discount » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Pascale Faure en pleine interview nautique © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Souriez, vous êtes palmé ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Animation en pâte à modeler à l’Atelier© Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

À la découverte des origines du cinéma avec le FAR à l’Atelier © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Remise de la bourse des festivals Auvergne-Rhône-Alpes à Martin Razy © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Nicolas Schmerkin, producteur de « Journal animé », rencontre les élèves de la séance scolaire © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Frédéric Dubreuil et Sébastien Betbeder à la rencontre des spectateurs du Rio après la projection de « Voyage au Groenland » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », Paul Mas, réalisateur de « Children », Frédéric Radepont, réalisateur de « Le sens des choses », viennent présenter les films de la séance F11 au cinéma Le Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

]]>
Breakfast avec Sigismond sans images https://clermont-filmfest.org/sigismond-sans-images/ Tue, 31 Jan 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/sigismond-sans-images/  

Entretien avec Albéric Aurtenèche, réalisateur de Sigismond sans images


la mouche cf Pourquoi Sigismond affirme-t-il qu’il s’identifie à Écho et pas à Narcisse ?

Merci pour cette merveilleuse question qui touche à l’essence même du film. Avec la généralisation du téléphone portable ces dix dernières années, la « révolution numérique » nous a permis d’avoir une maîtrise absolue des images, de leur création jusqu’à leur diffusion. L’exemple ultime est bien sûr le selfie, grâce auquel on peut choisir l’angle, le cadrage, le décor etc. de sa propre image, puis la retoucher pour lui donner l’aspect désiré, et enfin la publier sur le réseau de son choix.
Mais le selfie n’est qu’un aspect (au premier degré) de la maîtrise de notre propre image. Les réseaux sociaux permettent une maîtrise similaire en nous proposant de poster des images de nos vies, de donner notre avis sur tel ou tel sujet, de faire passer des articles, des vidéos ou des morceaux de musique dûment choisis et qui nous montrent sous notre meilleur jour. En bref, l’individu d’aujourd’hui est souvent précédé, dans la vraie vie, d’une sorte d’image virtuelle de lui-même.
Cette emprise que nous avons sur notre image pose la question : comment se construire dans une société de l’image ? Le problème, c’est qu’on a tendance à réduire la réponse à cette question à un seul et unique concept dérivé de l’hégémonie centenaire d’un philosophe : le narcissisme de Freud (un concept bien entendu remanié par ses nombreux adeptes). Il est devenu monnaie courante de considérer le mythe de Narcisse comme la base du comportement humain, à tel point qu’on l’invoque systématiquement dès qu’on parle de regard sur soi-même.
On s’en remet à cette unique interprétation sur la nature humaine pour démontrer que les gens utilisent en masse les réseaux sociaux dans le seul but de s’inventer un personnage tautologique pour leur plaisir. Voilà comment on juge la génération qui utilise massivement (pour l’instant) ces réseaux : égocentrée et narcissique. Lors de la grande grève étudiante de 2012 ici à Québec, qui a débouché sur un mouvement social général, les jeunes (ceux qu’on appelle les « Millennials » ou « génération moi ») étaient vus comme des enfants gâtés qui entravaient la bonne marche de la société de leurs parents pour des raisons purement égoïstes. Leurs revendications sociales, qui par définition visaient le bien commun, ont été réduites à un combat pour leurs intérêts personnels.
C’est pour cela que le mythe d’Écho parle à Sigismond. C’est le double (en négatif) de Narcisse, et elle représente une relation très différente aux images. Invisible à son amant, incapable de communiquer avec lui autrement qu’en répétant ce qu’il dit lorsqu’il parle tout seul, elle le regarde mourir d’amour pour sa propre image et, de désespoir, elle devient une voix sans corps, sans image, sans ego. Alors que Narcisse a une relation égocentrique aux images, Écho évoque l’exclusion du monde des images. Elle incarne ceux d’entre nous qui regardent dans le miroir non par vanité mais pour se rassurer dans un monde où règnent les apparences. Elle incarne ceux qui se construisent une personnalité virtuelle en s’imaginant que cela rendra leur existence plus vraie. Elle incarne ceux d’entre nous qui, pour une raison ou une autre, ont du mal à comprendre cette société façonnée par les autres.

la mouche cf Pourquoi vouliez-vous raconter l’histoire de Sigismond ?
J’ai modestement participé aux manifestations de 2012, dans le but de militer pour l’accès à l’éducation et contre un gouvernement néolibéral qui se croit permis de supprimer les budgets là où, à mon sens, on en a vraiment besoin. Comme tous ceux d’entre nous qui avaient plusieurs fois cédé au cynisme, j’ai cru qu’un changement était enfin possible, tout ça pour être à nouveau dupé et me heurter au mur érigé par une large majorité, indifférente et timorée. Le sentiment d’impuissance que j’ai alors ressenti, l’impression de ne pas avoir de voix, m’a inspiré le personnage de Sigismond.

la mouche cf Parlez-nous des scènes d’interrogatoire. Pourquoi les personnages se trouvent-ils dans le coin de la pièce ?
La réponse à cette question est très terre-à-terre. Le film a été tourné avec un mini budget puisé dans mon compte en banque. On a réussi à avoir le lieu de tournage gratuitement. On aimait bien la texture des parois, et je voulais filmer la première partie, avec le vieux psychiatre, avec une caméra fixe en face des personnages. On a tout simplement voulu éviter d’avoir une surface plane à l’arrière-plan. Ce qui est drôle, c’est qu’on a utilisé un seul coin de la pièce pour tous les plans de l’interrogatoire, on a juste déplacé les meubles et les accessoires.
Je suis sûr qu’on peut trouver des explications symboliques à ce choix esthétique, mais je laisse le spectateur s’en charger.

la mouche cf Si vous êtes déjà venu à Clermont-Ferrand, pouvez-vous nous raconter une anecdote sur le festival ? Sinon, quelles sont vos attentes pour cette édition ?
Je suis venu en 2008, mais avec un film qui n’était pas en compétition. J’ai fait des rencontres très intéressantes, dont certaines m’ont ouvert les portes d’autres festivals européens. Ensuite mon film a beaucoup tourné dans les festivals du monde entier.
Cela date un peu, et je n’avais pas fait de nouveau film depuis 2010 jusqu’à Sigismond. J’espère seulement que ma participation cette année va élargir la diffusion et la visibilité du film et peut-être susciter des discussions autour des thèmes qu’il aborde.
J’ai aussi un projet de long métrage coproduit par Metafilms à Montréal et Les films d’Antoine en France. Nous en sommes encore au stade des financements, qui seront sans doute français en grande partie. Je sais bien que Clermont est dédié au court métrage, mais je viendrai avec ce projet en tête.

la mouche cf Le film va-t-il bénéficier d’autres projections publiques ?
Il sera projeté fin février au Rendez-vous du cinéma québécois. En dehors de cela, je suis ouvert à toute proposition.

la mouche cf Est-ce que vous participerez à d’autres événements pendant le festival de Clermont-Ferrand (Expressos, conférences ou autre) ?
Je participe aux rencontres Expresso, et vous me verrez sans doute traîner du côté du stand Québec/Sodec au marché du film court.

 

 

Pour voir Sigismond sans images, rendez-vous aux séances de la compétition internationale I11.

]]>
Le festival dans la lucarne https://clermont-filmfest.org/le-festival-dans-la-lucarne-2017/ Sun, 29 Jan 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/le-festival-dans-la-lucarne-2017/ À l’occasion du festival, les chaînes télévisuelles programment plusieurs émissions spéciales : une bonne opportunité de se replonger dans les éditions précédentes du festival ou découvrir un aperçu de l’édition 2017.

courcircuitnow

Tous les mercredis après minuit (dans la nuit de mercredi à jeudi) sur Arte

Le magazine fait la part belle à cette 39e édition en consacrant son numéro 832 à un panorama des films sélectionnés en compétition, auxquels viendront s’ajouter des reportages.

 

 Mercredi 8 février : 

À la chasse de Akihiro Hata ouvre le bal ! Sélectionné en compétition nationale et projeté dans le programme F8, Arte diffusera à la suite le making-of de ce court métrage. Anaïs travaille avec son père dans une exploitation agricole plutôt en déclin. Suite au vol du distributeur d’engrais emprunté à la coopérative, qui les tient pour responsables, elle lutte pour continuer à travailler et se rapproche d’un saisonnier qu’elle soupçonne d’être le voleur.A la chasse 3

 

À la suite retrouvez Totems, réalisé par Paul Jadoul, sélectionné en compétition nationale, il sera projeté lors des programmes F1 et SCO durant le festival ! Ce court métrage raconte l’histoire d’un bûcheron qui travaille dans la forêt quand un arbre s’écrase sur lui et l’immobilise. La détresse réveille alors l’animal caché en lui.Totems img--1-300dpi

 

À l’occasion du panorama consacré au court métrage colombien (voir pp. 139-151), la rubrique “Regards croisés“ sera consacrée à Antoine Sebire, ancien attaché audiovisuel à Bogota et Franco Lolli, juré international 2017 (voir p. 36), cinéaste et producteur colombien lauréat du Grand Prix national du festival de Clermont-Ferrand en 2008 avec son film Como Todo el Mundo (Comme tout le monde) (voir p. 140).

COL1_2_como todo el mundo

 

La soirée continue avec Cabane de Simon Guélat ! Retrouvez ce court métrage en compétition nationale, dans le programme F8. Durant tout l’été, quatre adolescents se retrouvent illégalement sur une zone militaire pour construire une cabane. Mais la rentrée scolaire est proche et l’âge d’or qu’ils ont vécu autour de ce projet commence lentement à prendre fin. Arte diffusera à la suite leur rencontre avec le jeune réalisateur.Cabane 1

 

En suite retrouvez Love (Amour) réalisé par Reka Bucsi. Sélectionné en compétition Labo et diffusé dans le programme L3, ce court metrage est un film en trois chapitre qui évoque l’amour dans un système solaire lointain. Au fil de petites histoires abstraites, on assiste aux transformations et aux fusions qui s’opèrent sur une planète, au gré des aléas de la pesanteur et de la lumière.LOVE

 

Sélectionné en compétition nationale et projeté dans le programme F3, L’âge des sirènes de Heloïse Pelloquet est également dans Court-Cicuit ce soir ! Mattis, presque quinze ans, travaille sur un bateau de pêche pendant l’été et y découvre un monde qu’il ne connaît pas. Mais il sera bientôt temps pour lui et ses amis de quitter l’île de leur enfance et de rejoindre le lycée sur le continent.Age des sirenes_8

Pour clôturer cette soirée spéciale 39e édition du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, découvrez ou redécouvrez Après, réalisé par Wissam Charaf ! Vous pouvez le retrouver au festival en compétition nationale dans le programme F5. Hani revient dans son village du Liban qu’il trouve abandonné et hostile. Dans ce pays, fin de parcours pour les âmes perdues, Hani devra réapprendre à vivre.Après 2

libre-court-logo

Tous les lundis après minuit (dans la nuit de lundi à mardi) sur France 3

Lundi 6 février : [Émission spéciale de 2 heures]

La soirée commence avec Maman(s) de Maïmouna Doucouré gratifié du Prix France TV lors du dernier festival. Ce court métrage nous plonge au cœur d’une famille qui voit son quotidien bouleversé lorsque le père rentre du Sénégal. En effet, celui-ci n’est pas rentré seul et Aïda, sensible au désarroi de sa mère, décide de se débarrasser de la nouvelle venue.

 

À la suite retrouvez Un grand silence de Julie Gourdain, présent dans la sélection Courts en musiques lors du festival de Clermont-Ferrand en 2016, il raconte l’histoire de Marianne en 1968. Du haut de ses 19 ans, elle est placée au sein d’une maison pour jeunes filles, loin de sa famille et des ses proches. Dans cette maison, Marianne rencontre d’autres jaunes filles dont le secret a fait basculer le parcours.

 

 

Découvrez en suite en avant première Campo de Viboras (Champ de vipères) de Cristèle Alves Meira, sélectionné en compétition internationale et présenté dans le programme I2. Dans un village portugais, un drame inexplicable a lieu. Une vieille dame est retrouvée morte dans son jardin infesté de vipères alors que sa fille, Lurdes, a fugué sans rien dire à personne. Le mystère et le qu’en-dira-t-on planent sur la tragique destinée de cette maison.I2-3-Campo de viboras copie

 

Pour clôturer cette soirée, France 3 vous propose le multiprimé Réplique de Antoine Giorgini. En effet, ce court métrage sélectionné en compétition nationale en 2016 a reçu de nombreux prix tels que le Prix de l’ACSE (Agence Nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances), le Prix Égalité et Diversité, la Mention du Jury Presse et pour finir le Prix ADAMI d’Interprétation, meilleur comédien pour l’acteur principal Eddy Suiveng. Cette année au festival, Réplique sera projeté dans le programme Audio Description. Aujourd’hui, Tony passe une audition au conservatoire d’art dramatique. Mais son meilleur ami Steven, censé lui donner la réplique, n’est pas là. Après avoir échoué à lui trouver un remplaçant, Tony quitte les lieux, déterminé à ne plus jamais adresser la parole au traître.

 

histoirescourtes

Tous les dimanches après minuit (dans la nuit de dimanche à lundi) sur France 2

 

Dimanche 29 janvier : 

Aujourd’hui Histoire courtes diffuse A Brief History of Princess X (L’histoire de Princesse X) réalisé par Gabriel Abrantes. Inscrit en compétition nationale pour le festival de Clermont-Ferrand, c’est en compétition Labo que concourra ce court métrage. Un Retour sur l’histoire de « Princesse X », phallus futuriste en bronze doré sculpté par Brancusi mais qui est en fait le buste de l’incroyable petite-nièce de Napoléon, Marie Bonaparte.princessx 1

 

La soirée touche à sa fin, et pour finir en beauté, retrouvez Et toujours nous marcherons de Jonathan Millet ! Vous retrouverez ce court métrage dans le programme F8, en compétition nationale. Ils sont ceux dont la marge est le territoire, ceux qui passent sans qu’on ne les voit. Ils n’ont pas de papiers et parlent mille dialectes. Simon débarque à Paris et suit leurs traces. Il plonge dans les tréfonds de la ville pour retrouver celui qu’il cherche.Et toujours nous marcherons 3

 

Dimanche 5 février :

La soirée commence avec Animal de Jules Janaud et Fabrice Le Nezet, ce court métrage est sélectionné en compétition nationale dans le programme F10. Dans un futur proche, Jawak vit reclus avec un étrange animal dont il prend soin. La nuit, hanté par un grave accident d’enfance, il prépare sa vengeance…Animal 2

 

Et ça continu avec Lokoza réalisé par Isabelle Mayor et Zee Ntuli ! Sélectionné en compétition nationale dans le programme F2 cette année, ce court métrage vous plongera dans la banlieue sud de Durban où Themba vit avec son père près d’une raffinerie. Il est secrètement amoureux de Khanya, sa meilleure amie. Khanya sort avec KG, qui lui fait miroiter un avenir radieux. Plus leur relation se consolide, plus Themba se bat pour récupérer Khanya, jusqu’au jour où il va trop loin.Lokoza image A-1

Lokoza image A-3

 

 Logo TOP OF THE SHORTS rectangle

 Le dimanche dès 22h30 sur Canal+ Cinéma

Ce magazine propose des films courts, sélectionnés aux quatre coins du globe pour leur singularité, décalage, et surtout leur qualité. Top of the Shorts mettra le Festival à l’honneur à travers deux émissions dédiées aux pépites du festival 2016, autour de thématique telles que le vivre-ensemble, le couple ou la mort. Une troisième émission, proposée le lendemain de la clôture du festival, vous permettra de découvrir un court métrage sélectionné en 2017.

 

Dimanche 29 janvier à 22h30 :

À l’occasion du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, Top Of The Shorts met à l’honneur deux films primés lors de la dernière édition ! La soirée débute donc avec Madam Black réalisé par Ivan Barge, qui a reçu le Prix du Public lors du festival 2016. Un photographe écrase le chat d’une petite fille. Il va devoir inventer toute une histoire pour expliquer sa disparition.

Notre rencontre avec le réalisateur ici

 

Le court métrage qui vient clôturer cette soirée est Le trou (El Hueco) de German Tejada et Daniel Martin Rodriguez. Sélectionné en compétition internationale au festival de Clermont-Ferrand, il s’est vu remettre le Prix Canal+ !
Robert a mis de l’argent de côté pour acheter l’emplacement qui jouxte la tombe de sa femme. Mais au cours de la transaction, il apprend que la place a été vendue à un autre. Sa jalousie et son désir de passer l’éternité avec elle vont le pousser dans ses derniers retranchements.jpeg743543

 

Dimanche 5 février à 23h05 : 

La soirée commence avec Fais le mort réalisé par William Laboury ! Ce court métrage s’est vu remettre le Prix Canal+ suite à sa sélection en compétition nationale lors du festival de Clermont-Ferrand en 2016. Tom a 16 ans, et il est le cobaye préféré d’Evan qui fabrique des armes artisanales. Depuis qu’il a survécu au test du Patator, il évite de passer devant chez lui. Mais Evan ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

La soirée se termine avec Homebodies (Les pantouflards) de Yianni Warnock , sélectionné en compétition internationale en 2016. Dans un pavillon de banlieue, une ménagère parle avec un inconnu sur Internet. Dans le même pavillon, un mari se glisse dans la baignoire, le corps bardé de guirlandes électriques usées. Alors que chacun tente de fuir sa vie, le hasard va permettre à ce couple en crise de se retrouver, de la façon la plus terre-à-terre qui soit.

Dimanche 12 février à 22h20 : 

Si vous n’avez pas pu assister au programme F12 lors du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, voici l’occasion de (re)découvrir Que vive l’empereur, réalisé par Aude Léa Rapin, sélectionné en compétition nationale. Les troupes napoléoniennes sont massées aux portes de Waterloo. Le temps presse pour le soldat Bébé qui cherche un bataillon pour rejoindre la grande armée qui se lancera demain à l’assaut des Anglais.Que vive L'Empereur_Un film de Aude Lea Rapin©Les films de Pierre-2016_visuel 1

 

]]>