Et toujours nous marcherons – Clermont ISFF https://clermont-filmfest.org Festival du court métrage de Clermont-Ferrand | 31 Janv. > 8 Fév. 2025 Thu, 18 Mar 2021 10:52:09 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.5 https://clermont-filmfest.org/wp-content/uploads/2017/10/lutin-sqp-1-300x275.png Et toujours nous marcherons – Clermont ISFF https://clermont-filmfest.org 32 32 « On vous aura prévenu » – Spéciale festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2017 (3/6) https://clermont-filmfest.org/ovap3/ Wed, 08 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/ovap3/ La société de communication et de relations publiques, Kinic, propose une émission quotidienne, « On vous aura prévenu », qui porte sur le festival international du court métrage. Cette émission est retransmise en direct depuis l’hôtel Kyriad Prestige, situé au cœur du festival entre la Maison de la culture et le Marché du film. La station de radio Variance FM, en collaboration avec la société Kinic, met à disposition ses fréquences (103.7) afin de retransmettre l’émission chaque jour en direct. Le lendemain, une rediffusion vidéo de « On vous aura prévenu », est disponible sur YouTube, le site de Variance FM, les pages Facebook de Variance FM et Kinic, ainsi que sur le site de Fan-Auvergne.com. L’émission se déroule du lundi 6 au samedi 11 février 2017.

Invités du jour (spéciale compétition nationale) : la réalisatrice Nathalie Najem et la comédienne Lucile Krier du film Baby Love, le réalisateur Quarxx de Un ciel bleu presque parfait, Jonathan Millet, réalisateur de Et toujours nous marcherons.

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Dîner avec Et toujours nous marcherons https://clermont-filmfest.org/et-toujours-nous-marcherons/ Sun, 05 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/et-toujours-nous-marcherons/  

Interview de Jonathan Millet, réalisateur de Et toujours nous marcherons

 

la mouche cf Pourquoi étiez-vous intéressé par le monde des sans-papiers à Paris ?
Mon envie pour ce film, Et toujours nous marcherons, était d’écrire une tragédie. Je voulais dérouler mon récit autour de personnages traversés par des enjeux forts. C’est le cas des sans-papiers, qui risquent chaque jour l’arrestation, l’enfermement en centre de rétention, l’expulsion. Ils portent bien malgré eux l’espoir de leur famille restée au pays et ont, pour certains, traversé la moitié d’un continent, ont fui des guerres ou des situations terribles, vivent le deuil de proches qui n’ont pas survécu à la route de migration. C’est à ce point d’intensité-là que je voulais situer les personnages de mon film. Mais avant d’être un film « sur les sans-papiers », Et toujours nous marcherons est avant tout un film sur ceux qui vivent dans un monde en marge, en clandestinité, dans des espaces urbains qu’ils se sont réappropriés, avec des codes et des dialectes qui leurs sont propres. J’aime faire des films où je me plonge dans des mondes qui ne sont pas les miens. Cela dit, pour être précis sur la question, le film mêle des personnages migrants néo-arrivants, des sans-papiers, des réfugiés régularisés et des Français aux parents d’origine étrangère. Pour moi, Simon, le personnage principal, se définit d’abord par sa condition de migrant néo-arrivant dans un monde qu’il ne connaît pas, plutôt que par le fait qu’il n’ait pas de papier.

la mouche cf Avez-vous entrepris des recherches pour recréer cet univers ?
J’ai réalisé il y a quelques années un documentaire (Ceuta, douce prison, sorti au cinéma en 2014) dans lequel je suis les trajectoires de migrants sur la route vers l’Europe. Quelques temps après le tournage, certains ont réussi à arriver en France et j’ai pu partager alors par bribes leur quotidien de néo-arrivants. J’ai découvert une ville dans la ville en poussant avec eux la porte de salons de coiffure bondés, en allant dîner dans des restaurants clandestins ou en allant parler politique dans les salles collectives de foyers. J’ai donc eu un aperçu de cet univers, qui m’a donné une base pour l’écriture. Mais les recherches pour préparer le tournage furent longues et intenses. Un lent travail d’immersion a été fait, avec un collaborateur chargé du casting des non-professionnels et des repérages (Romain Silvi). Nous y sommes allés par étapes, pour pouvoir d’abord entrer dans les lieux qui m’intéressaient (foyer de migrants, restaurants clandestins, etc.), puis négocier le fait d’y tourner, et enfin obtenir de pouvoir se les réapproprier (en repeignant les murs, en modifiant totalement la lumière, etc.).  Pour des lieux de vie comme l’immense foyer dans lequel nous avons tourné, ou pour le cœur des rues du quartier Château-Rouge, ce ne fut pas chose aisée. Cela a pris de longs mois. Mais c’est cela que je recherchais : avoir une direction artistique précise et maîtrisée, dans des lieux incarnés au cœur desquels la vie surgit à chaque instant.

la mouche cf Comment avez-vous pensé et construit cette dualité entraide-compétition entre les sans-papiers ?
À l’écriture, je n’avais pas peur des archétypes. La quête de Simon est une suite d’épreuves, dans un monde dans lequel il est dur de faire confiance, dans lequel on se méfie des nouveaux. Il est confronté à des antagonismes, comme à des alliés. Pas d’angélisme dans l’écriture, il n’y a pas « des sans-papiers » mais un grand nombre de communautés, de langues, de personnalités, une hiérarchie par anciennetés, etc. Cet ensemble donne cette dualité, à quelques nuances près.

la mouche cf Comment vous est venue l’idée de la recherche d’un proche plutôt que le parcours traditionnel pour un travail ?
Cela touche encore une fois mon envie d’être guidée avant tout par la fiction pure, par une envie de récit et de tendre vers le film noir et la tragédie plutôt que vers une représentation plus attendue, au ras du réel. Le film s’attache donc à suivre une intrigue forte, la quête de Simon (et en filigrane son parcours initiatique). Je ne voulais surtout pas être dans la chronique. Guidé par des enjeux qui diffèrent ceux qu’il croise, Simon en devient très solitaire, extérieur au milieu auquel il est confronté. La notion d’isolement d’un personnage face à un monde qu’il découvre a pour moi une portée totalement cinématographique, qui m’évoque les grandes figures des films noirs que je tiens pour référence. Mais il est vrai que j’ai voulu également, à travers ce personnage, proposer un regard différent sur la migration, celui d’un Camerounais qui n’est pas prêt à tout quitter pour rejoindre l’Europe. J’ai voulu sortir d’un regard stéréotypé, sans nuances, qui voudrait que chaque Africain rêve de venir vivre ici, dans le froid, les particules fines et le fillonisme. Simon a une situation au Cameroun, une vie qui lui plaît. Il compte bien revenir au pays dès sa mission accomplie. À travers son personnage, j’ai aussi voulu raconter le poids avec lequel évoluent ces migrants, celui d’une famille qui compte sur eux, au moins pour distiller l’espoir d’un avenir meilleur, et à laquelle on ne peut rien refuser.

Et toujours nous marcherons 1

la mouche cf Pourquoi étiez-vous intéressé par le rapport à l' »invisibilité » des personnes sans-papiers, qui évoluent dans un quotidien pourtant bien délimité et « intégré » au sein du système français ?
Je ne crois pas à ce terme « intégré ». C’est au contraire ce monde en marge qui me parle, peuplé par ceux qui vivent dans les interstices de la ville et qui interagissent peu avec le monde « visible ». Moi, cela m’intéresse dans ma mise en scène de filmer des lieux que l’on ne voit pas habituellement à l’image, et de travailler cet esthétisme à l’aura sombre et mystérieuse qui les caractérise, tout en clair-obscur. Les lieux ici sont les arrière-salles dissimulées, des restaurants aux rideaux fermés, des entrepôts clandestins dans lesquels on entre avec un mot de passe, des chambres au fond de couloirs labyrinthiques du foyer de travailleurs migrants. Ce ne sont pas des lieux ouverts au tout venant.

la mouche cf Pourquoi étiez-vous intéressé par cette thématique du « grand frère » ?
C’est le point de départ de la tragédie ici : le poids de la tradition, les rôles prédéfinis par l’ordre de naissance. Et ensuite la bascule des rôles entre Simon et son frère à laquelle on va progressivement assister.

la mouche cf Dans Et toujours nous marcherons, vous mettez en exergue le contraste entre le quotidien réel de ce « grand frère » et le fantasme que sa famille restée au pays imagine. Quelles sont pour vous les raisons qui font que ce modèle a toujours ses adeptes ?
Le film raconte en filigrane les difficultés de communication, l’incapacité à raconter l’échec à ceux qui comptent sur vous, à des parents qui ont sacrifié beaucoup pour que leurs enfants puissent rejoindre l’Europe. Mais la question ne se pose pas toujours en ces termes, une grande partie des migrants n’a pas le choix, et ils quittent leurs pays pour des questions de survie. Ne se pose plus alors la question de la difficulté de la vie dans le pays vers lequel ils se dirigent, simplement l’idée de la survie.

la mouche cf Quels ont été vos coups de cœur au cinéma cette année ?
J’ai été excité, entre autres, par L’ornithologue, Dernier train pour Busan, Tony Erdmann et La mort de Louis XIV.

la mouche cf Si vous êtes déjà venu, racontez-nous une anecdote vécue au Festival de Clermont-Ferrand ? Sinon, qu’en attendez-vous ?
C’est ma première fois au festival, je dois bien l’avouer.

la mouche cf Le film a-t-il bénéficié d’autres diffusions publiques ?
Non, pas encore. La projection à Clermont est la première du film.

 

Pour voir Et toujours nous marcherons, rendez-vous aux séances de la compétition nationale F8.

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Le festival dans la lucarne https://clermont-filmfest.org/le-festival-dans-la-lucarne-2017/ Sun, 29 Jan 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/le-festival-dans-la-lucarne-2017/ À l’occasion du festival, les chaînes télévisuelles programment plusieurs émissions spéciales : une bonne opportunité de se replonger dans les éditions précédentes du festival ou découvrir un aperçu de l’édition 2017.

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Tous les mercredis après minuit (dans la nuit de mercredi à jeudi) sur Arte

Le magazine fait la part belle à cette 39e édition en consacrant son numéro 832 à un panorama des films sélectionnés en compétition, auxquels viendront s’ajouter des reportages.

 

 Mercredi 8 février : 

À la chasse de Akihiro Hata ouvre le bal ! Sélectionné en compétition nationale et projeté dans le programme F8, Arte diffusera à la suite le making-of de ce court métrage. Anaïs travaille avec son père dans une exploitation agricole plutôt en déclin. Suite au vol du distributeur d’engrais emprunté à la coopérative, qui les tient pour responsables, elle lutte pour continuer à travailler et se rapproche d’un saisonnier qu’elle soupçonne d’être le voleur.A la chasse 3

 

À la suite retrouvez Totems, réalisé par Paul Jadoul, sélectionné en compétition nationale, il sera projeté lors des programmes F1 et SCO durant le festival ! Ce court métrage raconte l’histoire d’un bûcheron qui travaille dans la forêt quand un arbre s’écrase sur lui et l’immobilise. La détresse réveille alors l’animal caché en lui.Totems img--1-300dpi

 

À l’occasion du panorama consacré au court métrage colombien (voir pp. 139-151), la rubrique “Regards croisés“ sera consacrée à Antoine Sebire, ancien attaché audiovisuel à Bogota et Franco Lolli, juré international 2017 (voir p. 36), cinéaste et producteur colombien lauréat du Grand Prix national du festival de Clermont-Ferrand en 2008 avec son film Como Todo el Mundo (Comme tout le monde) (voir p. 140).

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La soirée continue avec Cabane de Simon Guélat ! Retrouvez ce court métrage en compétition nationale, dans le programme F8. Durant tout l’été, quatre adolescents se retrouvent illégalement sur une zone militaire pour construire une cabane. Mais la rentrée scolaire est proche et l’âge d’or qu’ils ont vécu autour de ce projet commence lentement à prendre fin. Arte diffusera à la suite leur rencontre avec le jeune réalisateur.Cabane 1

 

En suite retrouvez Love (Amour) réalisé par Reka Bucsi. Sélectionné en compétition Labo et diffusé dans le programme L3, ce court metrage est un film en trois chapitre qui évoque l’amour dans un système solaire lointain. Au fil de petites histoires abstraites, on assiste aux transformations et aux fusions qui s’opèrent sur une planète, au gré des aléas de la pesanteur et de la lumière.LOVE

 

Sélectionné en compétition nationale et projeté dans le programme F3, L’âge des sirènes de Heloïse Pelloquet est également dans Court-Cicuit ce soir ! Mattis, presque quinze ans, travaille sur un bateau de pêche pendant l’été et y découvre un monde qu’il ne connaît pas. Mais il sera bientôt temps pour lui et ses amis de quitter l’île de leur enfance et de rejoindre le lycée sur le continent.Age des sirenes_8

Pour clôturer cette soirée spéciale 39e édition du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, découvrez ou redécouvrez Après, réalisé par Wissam Charaf ! Vous pouvez le retrouver au festival en compétition nationale dans le programme F5. Hani revient dans son village du Liban qu’il trouve abandonné et hostile. Dans ce pays, fin de parcours pour les âmes perdues, Hani devra réapprendre à vivre.Après 2

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Tous les lundis après minuit (dans la nuit de lundi à mardi) sur France 3

Lundi 6 février : [Émission spéciale de 2 heures]

La soirée commence avec Maman(s) de Maïmouna Doucouré gratifié du Prix France TV lors du dernier festival. Ce court métrage nous plonge au cœur d’une famille qui voit son quotidien bouleversé lorsque le père rentre du Sénégal. En effet, celui-ci n’est pas rentré seul et Aïda, sensible au désarroi de sa mère, décide de se débarrasser de la nouvelle venue.

 

À la suite retrouvez Un grand silence de Julie Gourdain, présent dans la sélection Courts en musiques lors du festival de Clermont-Ferrand en 2016, il raconte l’histoire de Marianne en 1968. Du haut de ses 19 ans, elle est placée au sein d’une maison pour jeunes filles, loin de sa famille et des ses proches. Dans cette maison, Marianne rencontre d’autres jaunes filles dont le secret a fait basculer le parcours.

 

 

Découvrez en suite en avant première Campo de Viboras (Champ de vipères) de Cristèle Alves Meira, sélectionné en compétition internationale et présenté dans le programme I2. Dans un village portugais, un drame inexplicable a lieu. Une vieille dame est retrouvée morte dans son jardin infesté de vipères alors que sa fille, Lurdes, a fugué sans rien dire à personne. Le mystère et le qu’en-dira-t-on planent sur la tragique destinée de cette maison.I2-3-Campo de viboras copie

 

Pour clôturer cette soirée, France 3 vous propose le multiprimé Réplique de Antoine Giorgini. En effet, ce court métrage sélectionné en compétition nationale en 2016 a reçu de nombreux prix tels que le Prix de l’ACSE (Agence Nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances), le Prix Égalité et Diversité, la Mention du Jury Presse et pour finir le Prix ADAMI d’Interprétation, meilleur comédien pour l’acteur principal Eddy Suiveng. Cette année au festival, Réplique sera projeté dans le programme Audio Description. Aujourd’hui, Tony passe une audition au conservatoire d’art dramatique. Mais son meilleur ami Steven, censé lui donner la réplique, n’est pas là. Après avoir échoué à lui trouver un remplaçant, Tony quitte les lieux, déterminé à ne plus jamais adresser la parole au traître.

 

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Tous les dimanches après minuit (dans la nuit de dimanche à lundi) sur France 2

 

Dimanche 29 janvier : 

Aujourd’hui Histoire courtes diffuse A Brief History of Princess X (L’histoire de Princesse X) réalisé par Gabriel Abrantes. Inscrit en compétition nationale pour le festival de Clermont-Ferrand, c’est en compétition Labo que concourra ce court métrage. Un Retour sur l’histoire de « Princesse X », phallus futuriste en bronze doré sculpté par Brancusi mais qui est en fait le buste de l’incroyable petite-nièce de Napoléon, Marie Bonaparte.princessx 1

 

La soirée touche à sa fin, et pour finir en beauté, retrouvez Et toujours nous marcherons de Jonathan Millet ! Vous retrouverez ce court métrage dans le programme F8, en compétition nationale. Ils sont ceux dont la marge est le territoire, ceux qui passent sans qu’on ne les voit. Ils n’ont pas de papiers et parlent mille dialectes. Simon débarque à Paris et suit leurs traces. Il plonge dans les tréfonds de la ville pour retrouver celui qu’il cherche.Et toujours nous marcherons 3

 

Dimanche 5 février :

La soirée commence avec Animal de Jules Janaud et Fabrice Le Nezet, ce court métrage est sélectionné en compétition nationale dans le programme F10. Dans un futur proche, Jawak vit reclus avec un étrange animal dont il prend soin. La nuit, hanté par un grave accident d’enfance, il prépare sa vengeance…Animal 2

 

Et ça continu avec Lokoza réalisé par Isabelle Mayor et Zee Ntuli ! Sélectionné en compétition nationale dans le programme F2 cette année, ce court métrage vous plongera dans la banlieue sud de Durban où Themba vit avec son père près d’une raffinerie. Il est secrètement amoureux de Khanya, sa meilleure amie. Khanya sort avec KG, qui lui fait miroiter un avenir radieux. Plus leur relation se consolide, plus Themba se bat pour récupérer Khanya, jusqu’au jour où il va trop loin.Lokoza image A-1

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 Le dimanche dès 22h30 sur Canal+ Cinéma

Ce magazine propose des films courts, sélectionnés aux quatre coins du globe pour leur singularité, décalage, et surtout leur qualité. Top of the Shorts mettra le Festival à l’honneur à travers deux émissions dédiées aux pépites du festival 2016, autour de thématique telles que le vivre-ensemble, le couple ou la mort. Une troisième émission, proposée le lendemain de la clôture du festival, vous permettra de découvrir un court métrage sélectionné en 2017.

 

Dimanche 29 janvier à 22h30 :

À l’occasion du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, Top Of The Shorts met à l’honneur deux films primés lors de la dernière édition ! La soirée débute donc avec Madam Black réalisé par Ivan Barge, qui a reçu le Prix du Public lors du festival 2016. Un photographe écrase le chat d’une petite fille. Il va devoir inventer toute une histoire pour expliquer sa disparition.

Notre rencontre avec le réalisateur ici

 

Le court métrage qui vient clôturer cette soirée est Le trou (El Hueco) de German Tejada et Daniel Martin Rodriguez. Sélectionné en compétition internationale au festival de Clermont-Ferrand, il s’est vu remettre le Prix Canal+ !
Robert a mis de l’argent de côté pour acheter l’emplacement qui jouxte la tombe de sa femme. Mais au cours de la transaction, il apprend que la place a été vendue à un autre. Sa jalousie et son désir de passer l’éternité avec elle vont le pousser dans ses derniers retranchements.jpeg743543

 

Dimanche 5 février à 23h05 : 

La soirée commence avec Fais le mort réalisé par William Laboury ! Ce court métrage s’est vu remettre le Prix Canal+ suite à sa sélection en compétition nationale lors du festival de Clermont-Ferrand en 2016. Tom a 16 ans, et il est le cobaye préféré d’Evan qui fabrique des armes artisanales. Depuis qu’il a survécu au test du Patator, il évite de passer devant chez lui. Mais Evan ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

La soirée se termine avec Homebodies (Les pantouflards) de Yianni Warnock , sélectionné en compétition internationale en 2016. Dans un pavillon de banlieue, une ménagère parle avec un inconnu sur Internet. Dans le même pavillon, un mari se glisse dans la baignoire, le corps bardé de guirlandes électriques usées. Alors que chacun tente de fuir sa vie, le hasard va permettre à ce couple en crise de se retrouver, de la façon la plus terre-à-terre qui soit.

Dimanche 12 février à 22h20 : 

Si vous n’avez pas pu assister au programme F12 lors du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, voici l’occasion de (re)découvrir Que vive l’empereur, réalisé par Aude Léa Rapin, sélectionné en compétition nationale. Les troupes napoléoniennes sont massées aux portes de Waterloo. Le temps presse pour le soldat Bébé qui cherche un bataillon pour rejoindre la grande armée qui se lancera demain à l’assaut des Anglais.Que vive L'Empereur_Un film de Aude Lea Rapin©Les films de Pierre-2016_visuel 1

 

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