Fabrice Le Nezet – Clermont ISFF https://clermont-filmfest.org Festival du court métrage de Clermont-Ferrand | 31 Janv. > 8 Fév. 2025 Thu, 18 Mar 2021 10:44:48 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.5 https://clermont-filmfest.org/wp-content/uploads/2017/10/lutin-sqp-1-300x275.png Fabrice Le Nezet – Clermont ISFF https://clermont-filmfest.org 32 32 Dîner avec Animal https://clermont-filmfest.org/animal/ Sat, 11 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/animal/  

Interview de Jules Janaud et Fabrice Le Nezet, réalisateurs de Animal

 

la mouche cf Qu’est-ce qui vous intéressait dans le rapport à l’animal et des réactions qu’il peut susciter en nous, de la peur à l’empathie en passant par le rapport au dressage de l’animal ?
On voulait tout d’abord ne pas trop le voir. L’entendre et le deviner à la manière d’un vieux film de genre. Cultiver le mystère pour mieux le découvrir en fin de film. L’imagination du spectateur est bien souvent plus puissante que les meilleurs effets spéciaux. On voulait faire un truc plutôt dégueulasse aux premiers abords qui pouvait presque devenir mignon et attachant sur la longueur. Et enfin, même doté d’une certaine élégance lorsqu’il apparaît recouvert de ses ornements aux motifs tribaux à la fin du film.

la mouche cf Pourquoi avez-vous choisi d’intégrer des séquences de danses mystiques au film et comment avez-vous travaillé le rythme du film avec ces séquences qui semblent comme « suspendues » dans le temps ?
Cela nous permettait de développer le caractère de Jawak en appuyant le côté traditionnel/mystique du personnage. Nous aimons la danse, ces séquences sont donc venues assez naturellement, mais nous avions des craintes sur l’exécution et la dimension mystique de ces scènes. Nous voulions quelque chose de simple et en même temps original et plausible. Il fallait avoir une ressemblance aussi entre la danse de l’enfant et celle de l’adulte sans être une copie l’une de l’autre. Les acteurs sont pour beaucoup sur le développement des chorégraphies. Nous avons répété avec Issaka, très bon danseur, qui est venu rapidement avec les bons mouvements. Nous avons ensuite travaillé cette base avec Ibrahim (Jawak enfant) pour qu’il trouve sa propre interprétation. L’utilisation du ralenti a amené la légèreté atmosphérique que nous recherchions et enfin, le travail du son, la touche de magie en plus.

la mouche cf Comment avez-vous imaginé l’espèce animale du film ?
On trouvait intéressant de développer une espèce qui n’était a priori pas faite pour se déplacer vite et donc pas du tout faite pour se battre. Aussi un mélange singulier de différentes espèces, à la fois terrestre et aquatique. Nous nous sommes donc inspirés du serpent, du poulpe, et même du porc pour certaines parties. On aimait bien aussi l’idée d’avoir un animal sans yeux et jouer avec sa tête plutôt à la manière d’un museau. Il était question à un moment de parties mécaniques et robotiques mais nous avons préféré la direction de l’ornement et de la décoration. Cela s’intégrait mieux dans notre histoire et ça nous permettait de développer aussi une charte graphique cohérente pour tout le film.

la mouche cf Pourquoi vouliez-vous traiter dans Animal des rapports sociaux, en partant d’un groupe d’enfants, sans guide, qui s’amusent et dépassent certaines limites ?
On voulait faire un film qui mélange plusieurs genres : faire un film de science-fiction intimiste et pourquoi pas social par moments, ça nous plaisait. D’autre part, en plus du contexte particulier, tisser rapidement les liens sociaux/affectifs des personnages permet d’asseoir un film plutôt visuel dans une fiction qui raconte vraiment quelques chose. Il y a sans doute aussi la nostalgie des films américains des années 90 où les enfants occupaient une place centrale, celle du héros qui bravait souvent l’interdit.

la mouche cf Quels ont été vos coups de cœur au cinéma cette année ?
Vivant à l’étranger ces films ne sont probablement pas de cette année, mais nous avons aimé Mustang de Deniz Gamze Ergüven, pour la “pétillance“ de sa gravité et Victoria  de Sebastian Schipper pour sa modernité et la justesse de son exercice de style.

la mouche cf Si vous êtes déjà venu(e)(s), racontez-nous une anecdote vécue au Festival de Clermont-Ferrand ? Sinon, qu’en attendez-vous ?
Oui nous sommes déjà venus à plusieurs reprises. D’ailleurs nous étions ici tous les deux en 2006, avec chacun nos films d’étudiants respectifs. Ça ne nous rajeunit pas ! Nous sommes donc des vétérans. Il faisait très, très froid, il y avait de la glace partout dans la rue, du coup pour éviter les gamelles, on allait voir des films et pour se réchauffer un peu on allait boire des coups à la Brasserie de la Gare Routière…

la mouche cf Le film a-t-il bénéficié d’autres diffusions publiques ?
Le film c’est finalisé en décembre donc il n’y pas encore de diffusion publique de prévues. Clermont-Ferrand sera donc la première diffusion du film.

la mouche cf D’autres participations sont-elles prévues durant le festival (rencontres, expressos, etc.) ?
Oui, nous serons là et ferons une rencontre scolaire le jeudi 9 ainsi qu’une rencontre avec le public le vendredi 10 au cinéma Le Rio.

 

Pour voir Animal, rendez-vous aux séances de la compétition nationale F10.

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Jour 9 : Rideau ! https://clermont-filmfest.org/jour-9-rideau-2/ Fri, 10 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/jour-9-rideau/

À Clermont, on n’a peut-être pas de paillettes, mais on a des confettis ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Nine Antico et Alberto Vazquez en pleine séance de dédicaces à Esprit BD © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Nine Antico et Alberto Vazquez en pleine séance de dédicaces à Esprit BD © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Michael Grudsky, réalisateur de « The Transfer » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Vincent Lynen, réalisateur de « Play Boys » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Javier Garcia, réalisateur de « Norte » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Marc Reisbig, réalisateur de « Working With Animals » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Or Sinai, réalisatrice de « Anna » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Reed Van Dyk, réalisateur de Dekalb Elementary » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Bryony Dunne, réalisatrice de « Gasper » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

L’équipe des Expresso au grand complet ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Arthur Cahn, réalisateur de « Hecrulanum » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Chuan-Yang Li, réalisateur de « Coin Boy » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Jordi Perino et Coralie Russier, réalisateur et actrice de « Marie salope » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Jules Janaud, co-réalisateur de « Animal »© Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Ladj Ly et une partie de l’équipe de « Les misérables » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Lise Akoka et Romane Gueret, réalisatrices de « Chasse royale » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Marie Misset et Armel Hemme, maîtres de cérémonie © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Les Vercingétorix sont prêts ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Arthur Cahn reçoit le Prix de la presse Télérama pour « Herculanum » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Le tout premier Prix du meilleur film documentaire (Documentaire sur grand écran) est remis à José Miguel Ribeiro pour « Estilhaços » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Paul Jadoul, lauréat du Prix du meilleur film d’animation francophone (SACD) pour « Totems » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Le Belge Vincent Lynen reçoit le Prix Canal+ labo pour « Play Boys » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Le couple Fanny Liatard et Jérémy Trouilh reçoit le Prix Canal+ national (ex æquo) pour « La république des enchanteurs » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Ladj Ly reçoit le Prix Canal+ national (ex æquo) pour « Les misérables » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Kouther Ben Hania remet la nomination aux European Film Awards à Jannis Lenz, réalisateur de « Wannabe » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Olivier Strauss, lauréat du Prix de la meilleure première œuvre de fiction avec « Dirty South » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Le Prix du meilleur film d’animation international est remis à la Polonaise Renata Gasiorowska pour « Cipka » par la jurée Ohna Falby © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Robin Fresson, ici avec le réalisateur Lorenzo Bianchi, reçoit le Prix de la meilleure photographie pour son travail sur « Le petit » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Matthieu Vigneau est auréolé du Prix de la meilleure musique originale pour « En cordée » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Lou Jomaron, productrice de « Koropa », reçoit le Prix égalité et diversité © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Anand Kishore, réalisateur de « Disco Obu », reçoit la mention spéciale du jury international © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

La seconde mention spéciale du jury international revient à Makoto Nagahisa pour « And so we Put Goldfish in the Pool » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Fernando Garcia-Ruiz Rubio reçoit sa deuxième distinction pour « Como Yo Te Amo » : le Prix du public international © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Stephan Castang, doublement récompensé ce soir avec son « Panthéon Discount » : Prix étudiant et Prix du public nationaux ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Amaury Chabauty, compositeur du film « Féfé Limbé » de Julien Silloray, vient recevoir le Prix spécial du Jury national ainsi que le Prix ADAMI d’interprétation meilleur comédien pour la performance de Pierre Valcy © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Douwe Dijkstra reçoit le Grand Prix Labo pour « Green Screen Gringo » ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Reed Van Dyk, auréolé du Grand Prix international pour « Dekalb Elementary » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Emmanuel Marre, un peu ému, reçoit le Grand Prix national des mains du jury : « Le film de l’été » est le grand gagnant © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Une belle brochette : Olivier Babinet, Marie Misset, Franco Lolli, Jean-Claude Saurel, Armel Hemme et Benoît Delépine © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Vous reprendrez bien un peu de jurés ? Franco Lolli, Kaouther Ben Hania et Ohna Falby © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Toute la team de « Como Yo Te Amo » est là (en espagnol dans le texte) ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

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Jour 8 : ciné-piscine https://clermont-filmfest.org/jour-8-cine-piscine/ Thu, 09 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/jour-8-cine-piscine/

Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », Paul Mas, réalisateur de « Children », Frédéric Radepont, réalisateur de « Le sens des choses », viennent présenter les films de la séance F11 au cinéma Le Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Lotfi Achour, réalisateur de « La laine sur le dos » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Fernando Garcia-Ruiz Rubio, réalisateur de « Como Yo Te Amo » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jamie Jones, réalisateur de « The Nest » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Renata Gasiorowska, réalisatrice de « Cipka » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jackson Kroopf, réalisateur de « BobbyAnna » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Joonas Rutanen, réalisateur de « Rakastan Annaa » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

José Miguel Ribeiro, réalisateur de « Estilhaços » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Yujian Li, réalisateur de « Pain in Silence » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Alberic Aurtenèche, réalisateur de « Sigismond sans images » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jesus Reyes et Andrés Porras, réalisateurs de « Genaro » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jeroen Ceulebrouck, réalisateur de « Antartica » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Ewan Jones Morris, réalisateur de « This Far Up » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Isabelle Putod, réalisatrice de « L’exilé du temps » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Chris Shepherd, réalisateur de « Johnno’s Dead » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Lotfi Achour signe l’affiche du Rio © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Lise Akoka et Romane Gueret, réalisatrices de « Chasse royale », Fabrice Le Nezet et Jules Janaud, réalisateurs de « Animal », Lotfi Achour, réalisateur de « La laine sur le dos », présentent les films en compétition nationale F10 au Rio © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Rencontre Talents en court Adami-CNC © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Rencontre scolaire avec Stephan Castang, réalisateur de « Panthéon Discount » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Rencontre scolaire avec Stephan Castang, réalisateur de « Panthéon Discount » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Pascale Faure en pleine interview nautique © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Souriez, vous êtes palmé ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Animation en pâte à modeler à l’Atelier© Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

À la découverte des origines du cinéma avec le FAR à l’Atelier © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Remise de la bourse des festivals Auvergne-Rhône-Alpes à Martin Razy © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Nicolas Schmerkin, producteur de « Journal animé », rencontre les élèves de la séance scolaire © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Frédéric Dubreuil et Sébastien Betbeder à la rencontre des spectateurs du Rio après la projection de « Voyage au Groenland » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », Paul Mas, réalisateur de « Children », Frédéric Radepont, réalisateur de « Le sens des choses », viennent présenter les films de la séance F11 au cinéma Le Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

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Pourquoi tu court ? « Animal » de Jules Janaud et Fabrice Le Nezet https://clermont-filmfest.org/pourquoi-tu-court-animal/ Wed, 08 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/pourquoi-tu-court-animal/

Une pastille proposée par les étudiants de licence 2 Arts du Spectacle option Cinéma de l’Université Clermont-Auvergne.

Chaque jour, un témoignage de la rencontre professionnels-étudiants faisant suite à la séance SCO.

Aujourd’hui, Animal de Jules Janaud et Fabrice Le Nezet (F10).

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Jour 7 : Minute Bodies ! https://clermont-filmfest.org/jour-7-minute-bodies/ Wed, 08 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/jour-7-minute-bodies/ "Oh capitaine, mon capitaine" ? © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

« Oh capitaine, mon capitaine » ? © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Ça tourne à l'Atelier ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Ça tourne à l’Atelier ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Musique de film à l'Atelier © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Musique de film à l’Atelier © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Une petite coupe à l'Atelier ? © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Une petite coupe à l’Atelier ? © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Maud Alpi, Sébastien Betbeder, Laurie Lévêque et Olivier Babinet prennent la pose ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Maud Alpi, Sébastien Betbeder, Laurie Lévêque et Olivier Babinet prennent la pose ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Cross et transmedia #5 © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Cross et transmedia #5 © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Présentation du débat de la SRF avec les cinéastes Vincent Mariette et Marie Amachoukeli © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Présentation du débat de la SRF avec les cinéastes Vincent Mariette et Marie Amachoukeli © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Lorenzo Bianchi, réalisateur de "Le petit", Cédric Walter, producteur de "Koropa" et Sylvain Dieuaide, réalisateur de "Guillaume à la dérive", présentent les films en compétition nationale F9 au Rio © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Lorenzo Bianchi, réalisateur de « Le petit », Cédric Walter, producteur de « Koropa » et Sylvain Dieuaide, réalisateur de « Guillaume à la dérive », présentent les films en compétition nationale F9 au Rio © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Jules Janaud et Fabrice Le Nezet, réalisateurs de "Animal", rencontrent les élèves de la séance scolaire© Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Jules Janaud et Fabrice Le Nezet, réalisateurs de « Animal », rencontrent les élèves de la séance scolaire© Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Emilie Aussel, réalisatrice de "Ta bouche mon paradis", Arthur Cahn, réalisateur de "Herculanum", Wei Hu et Julien Féret, réalisateur et producteur de "Ce qui nous éloigne", présentent les films en compétition nationale F7 au Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Emilie Aussel, réalisatrice de « Ta bouche mon paradis », Arthur Cahn, réalisateur de « Herculanum », Wei Hu et Julien Féret, réalisateur et producteur de « Ce qui nous éloigne », présentent les films en compétition nationale F7 au Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Fanny Liatard et Jérémy Trouilh, réalisateurs de "La république des enchanteurs" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Fanny Liatard et Jérémy Trouilh, réalisateurs de « La république des enchanteurs » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Aurelien Deseez, producteur de "A Brief History of Princess X" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Aurélien Deseez, producteur de « A Brief History of Princess X » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Pierre Feytis, réalisateur de "Film, Beyonder III" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Pierre Feytis, réalisateur de « Film, Beyonder III » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Emilie Aussel, réalisatrice de "Ta bouche mon paradis" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Emilie Aussel, réalisatrice de « Ta bouche mon paradis » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Marcos Sánchez, réalisateur de "The Unnatural" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Marcos Sánchez, réalisateur de « The Unnatural » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Yong Zeng, réalisateur de "Shit" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Yong Zeng, réalisateur de « Shit » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Makoto Nagahisha, réalisateur de "And so we Put Goldfish in the Pool" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Makoto Nagahisha, réalisateur de « And so we Put Goldfish in the Pool » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Corina Schwingruber Ilic et Thomas Horat (à droite), réalisateurs de "Ins Holz" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Corina Schwingruber Ilic et Thomas Horat (à droite), réalisateurs de « Ins Holz » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Roy Alexander Stewart, réalisateur de "In the Grass"© Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Roy Alexander Stewart, réalisateur de « In the Grass »© Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Spela Cadez, réalisatrice de "Nocna Ptica" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Spela Cadez, réalisatrice de « Nocna Ptica » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Guillaume Rieu, réalisateur de "Mars IV" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Guillaume Rieu, réalisateur de « Mars IV » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Isabel Mayor, co-réalisatrice de "Lokoza" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Isabel Mayor, co-réalisatrice de « Lokoza » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Guillaume Orignac, réalisateur de "Cinq nuits" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Guillaume Orignac, réalisateur de « Cinq nuits » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Lorenzo Bianchi, réalisateur de "Le petit" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Lorenzo Bianchi, réalisateur de « Le petit » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Antoine de Bary, réalisateur de "L'enfance d'un chef" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Antoine de Bary, réalisateur de « L’enfance d’un chef » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Bastien Bouillon, comédien de "Guillaume à la dérive" et "Baby Love" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Bastien Bouillon, comédien de « Guillaume à la dérive » et « Baby Love » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Remise du Prix France Télévisions © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Remise du Prix France Télévisions © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Alberto Vazquez rencontre le public du Rio juste avant la projection de son film "Psiconautas" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Alberto Vazquez rencontre le public du Rio juste avant la projection de son film « Psiconautas » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Happy hour au stand colombien du Marché ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Happy hour au stand colombien du Marché ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Sarah Santamaria-Mertens, réalisatrice de "Blind Sex" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Sarah Santamaria-Mertens, réalisatrice de « Blind Sex » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Arthur Cahn, réalisateur de "Herculanum" © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Arthur Cahn, réalisateur de « Herculanum » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Antoine De Bary, Daisy Sadler et El Mehdi Azzam, réalisateurs de la compétition nationale © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Antoine De Bary, Daisy Sadler et El Mehdi Azzam, réalisateurs de la compétition nationale © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

"Minute Bodies", le concert des Tindersticks au MARQ © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

« Minute Bodies », le concert des Tindersticks au MARQ © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

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Le festival dans la lucarne https://clermont-filmfest.org/le-festival-dans-la-lucarne-2017/ Sun, 29 Jan 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/le-festival-dans-la-lucarne-2017/ À l’occasion du festival, les chaînes télévisuelles programment plusieurs émissions spéciales : une bonne opportunité de se replonger dans les éditions précédentes du festival ou découvrir un aperçu de l’édition 2017.

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Tous les mercredis après minuit (dans la nuit de mercredi à jeudi) sur Arte

Le magazine fait la part belle à cette 39e édition en consacrant son numéro 832 à un panorama des films sélectionnés en compétition, auxquels viendront s’ajouter des reportages.

 

 Mercredi 8 février : 

À la chasse de Akihiro Hata ouvre le bal ! Sélectionné en compétition nationale et projeté dans le programme F8, Arte diffusera à la suite le making-of de ce court métrage. Anaïs travaille avec son père dans une exploitation agricole plutôt en déclin. Suite au vol du distributeur d’engrais emprunté à la coopérative, qui les tient pour responsables, elle lutte pour continuer à travailler et se rapproche d’un saisonnier qu’elle soupçonne d’être le voleur.A la chasse 3

 

À la suite retrouvez Totems, réalisé par Paul Jadoul, sélectionné en compétition nationale, il sera projeté lors des programmes F1 et SCO durant le festival ! Ce court métrage raconte l’histoire d’un bûcheron qui travaille dans la forêt quand un arbre s’écrase sur lui et l’immobilise. La détresse réveille alors l’animal caché en lui.Totems img--1-300dpi

 

À l’occasion du panorama consacré au court métrage colombien (voir pp. 139-151), la rubrique “Regards croisés“ sera consacrée à Antoine Sebire, ancien attaché audiovisuel à Bogota et Franco Lolli, juré international 2017 (voir p. 36), cinéaste et producteur colombien lauréat du Grand Prix national du festival de Clermont-Ferrand en 2008 avec son film Como Todo el Mundo (Comme tout le monde) (voir p. 140).

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La soirée continue avec Cabane de Simon Guélat ! Retrouvez ce court métrage en compétition nationale, dans le programme F8. Durant tout l’été, quatre adolescents se retrouvent illégalement sur une zone militaire pour construire une cabane. Mais la rentrée scolaire est proche et l’âge d’or qu’ils ont vécu autour de ce projet commence lentement à prendre fin. Arte diffusera à la suite leur rencontre avec le jeune réalisateur.Cabane 1

 

En suite retrouvez Love (Amour) réalisé par Reka Bucsi. Sélectionné en compétition Labo et diffusé dans le programme L3, ce court metrage est un film en trois chapitre qui évoque l’amour dans un système solaire lointain. Au fil de petites histoires abstraites, on assiste aux transformations et aux fusions qui s’opèrent sur une planète, au gré des aléas de la pesanteur et de la lumière.LOVE

 

Sélectionné en compétition nationale et projeté dans le programme F3, L’âge des sirènes de Heloïse Pelloquet est également dans Court-Cicuit ce soir ! Mattis, presque quinze ans, travaille sur un bateau de pêche pendant l’été et y découvre un monde qu’il ne connaît pas. Mais il sera bientôt temps pour lui et ses amis de quitter l’île de leur enfance et de rejoindre le lycée sur le continent.Age des sirenes_8

Pour clôturer cette soirée spéciale 39e édition du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, découvrez ou redécouvrez Après, réalisé par Wissam Charaf ! Vous pouvez le retrouver au festival en compétition nationale dans le programme F5. Hani revient dans son village du Liban qu’il trouve abandonné et hostile. Dans ce pays, fin de parcours pour les âmes perdues, Hani devra réapprendre à vivre.Après 2

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Tous les lundis après minuit (dans la nuit de lundi à mardi) sur France 3

Lundi 6 février : [Émission spéciale de 2 heures]

La soirée commence avec Maman(s) de Maïmouna Doucouré gratifié du Prix France TV lors du dernier festival. Ce court métrage nous plonge au cœur d’une famille qui voit son quotidien bouleversé lorsque le père rentre du Sénégal. En effet, celui-ci n’est pas rentré seul et Aïda, sensible au désarroi de sa mère, décide de se débarrasser de la nouvelle venue.

 

À la suite retrouvez Un grand silence de Julie Gourdain, présent dans la sélection Courts en musiques lors du festival de Clermont-Ferrand en 2016, il raconte l’histoire de Marianne en 1968. Du haut de ses 19 ans, elle est placée au sein d’une maison pour jeunes filles, loin de sa famille et des ses proches. Dans cette maison, Marianne rencontre d’autres jaunes filles dont le secret a fait basculer le parcours.

 

 

Découvrez en suite en avant première Campo de Viboras (Champ de vipères) de Cristèle Alves Meira, sélectionné en compétition internationale et présenté dans le programme I2. Dans un village portugais, un drame inexplicable a lieu. Une vieille dame est retrouvée morte dans son jardin infesté de vipères alors que sa fille, Lurdes, a fugué sans rien dire à personne. Le mystère et le qu’en-dira-t-on planent sur la tragique destinée de cette maison.I2-3-Campo de viboras copie

 

Pour clôturer cette soirée, France 3 vous propose le multiprimé Réplique de Antoine Giorgini. En effet, ce court métrage sélectionné en compétition nationale en 2016 a reçu de nombreux prix tels que le Prix de l’ACSE (Agence Nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances), le Prix Égalité et Diversité, la Mention du Jury Presse et pour finir le Prix ADAMI d’Interprétation, meilleur comédien pour l’acteur principal Eddy Suiveng. Cette année au festival, Réplique sera projeté dans le programme Audio Description. Aujourd’hui, Tony passe une audition au conservatoire d’art dramatique. Mais son meilleur ami Steven, censé lui donner la réplique, n’est pas là. Après avoir échoué à lui trouver un remplaçant, Tony quitte les lieux, déterminé à ne plus jamais adresser la parole au traître.

 

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Tous les dimanches après minuit (dans la nuit de dimanche à lundi) sur France 2

 

Dimanche 29 janvier : 

Aujourd’hui Histoire courtes diffuse A Brief History of Princess X (L’histoire de Princesse X) réalisé par Gabriel Abrantes. Inscrit en compétition nationale pour le festival de Clermont-Ferrand, c’est en compétition Labo que concourra ce court métrage. Un Retour sur l’histoire de « Princesse X », phallus futuriste en bronze doré sculpté par Brancusi mais qui est en fait le buste de l’incroyable petite-nièce de Napoléon, Marie Bonaparte.princessx 1

 

La soirée touche à sa fin, et pour finir en beauté, retrouvez Et toujours nous marcherons de Jonathan Millet ! Vous retrouverez ce court métrage dans le programme F8, en compétition nationale. Ils sont ceux dont la marge est le territoire, ceux qui passent sans qu’on ne les voit. Ils n’ont pas de papiers et parlent mille dialectes. Simon débarque à Paris et suit leurs traces. Il plonge dans les tréfonds de la ville pour retrouver celui qu’il cherche.Et toujours nous marcherons 3

 

Dimanche 5 février :

La soirée commence avec Animal de Jules Janaud et Fabrice Le Nezet, ce court métrage est sélectionné en compétition nationale dans le programme F10. Dans un futur proche, Jawak vit reclus avec un étrange animal dont il prend soin. La nuit, hanté par un grave accident d’enfance, il prépare sa vengeance…Animal 2

 

Et ça continu avec Lokoza réalisé par Isabelle Mayor et Zee Ntuli ! Sélectionné en compétition nationale dans le programme F2 cette année, ce court métrage vous plongera dans la banlieue sud de Durban où Themba vit avec son père près d’une raffinerie. Il est secrètement amoureux de Khanya, sa meilleure amie. Khanya sort avec KG, qui lui fait miroiter un avenir radieux. Plus leur relation se consolide, plus Themba se bat pour récupérer Khanya, jusqu’au jour où il va trop loin.Lokoza image A-1

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 Le dimanche dès 22h30 sur Canal+ Cinéma

Ce magazine propose des films courts, sélectionnés aux quatre coins du globe pour leur singularité, décalage, et surtout leur qualité. Top of the Shorts mettra le Festival à l’honneur à travers deux émissions dédiées aux pépites du festival 2016, autour de thématique telles que le vivre-ensemble, le couple ou la mort. Une troisième émission, proposée le lendemain de la clôture du festival, vous permettra de découvrir un court métrage sélectionné en 2017.

 

Dimanche 29 janvier à 22h30 :

À l’occasion du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, Top Of The Shorts met à l’honneur deux films primés lors de la dernière édition ! La soirée débute donc avec Madam Black réalisé par Ivan Barge, qui a reçu le Prix du Public lors du festival 2016. Un photographe écrase le chat d’une petite fille. Il va devoir inventer toute une histoire pour expliquer sa disparition.

Notre rencontre avec le réalisateur ici

 

Le court métrage qui vient clôturer cette soirée est Le trou (El Hueco) de German Tejada et Daniel Martin Rodriguez. Sélectionné en compétition internationale au festival de Clermont-Ferrand, il s’est vu remettre le Prix Canal+ !
Robert a mis de l’argent de côté pour acheter l’emplacement qui jouxte la tombe de sa femme. Mais au cours de la transaction, il apprend que la place a été vendue à un autre. Sa jalousie et son désir de passer l’éternité avec elle vont le pousser dans ses derniers retranchements.jpeg743543

 

Dimanche 5 février à 23h05 : 

La soirée commence avec Fais le mort réalisé par William Laboury ! Ce court métrage s’est vu remettre le Prix Canal+ suite à sa sélection en compétition nationale lors du festival de Clermont-Ferrand en 2016. Tom a 16 ans, et il est le cobaye préféré d’Evan qui fabrique des armes artisanales. Depuis qu’il a survécu au test du Patator, il évite de passer devant chez lui. Mais Evan ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

La soirée se termine avec Homebodies (Les pantouflards) de Yianni Warnock , sélectionné en compétition internationale en 2016. Dans un pavillon de banlieue, une ménagère parle avec un inconnu sur Internet. Dans le même pavillon, un mari se glisse dans la baignoire, le corps bardé de guirlandes électriques usées. Alors que chacun tente de fuir sa vie, le hasard va permettre à ce couple en crise de se retrouver, de la façon la plus terre-à-terre qui soit.

Dimanche 12 février à 22h20 : 

Si vous n’avez pas pu assister au programme F12 lors du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, voici l’occasion de (re)découvrir Que vive l’empereur, réalisé par Aude Léa Rapin, sélectionné en compétition nationale. Les troupes napoléoniennes sont massées aux portes de Waterloo. Le temps presse pour le soldat Bébé qui cherche un bataillon pour rejoindre la grande armée qui se lancera demain à l’assaut des Anglais.Que vive L'Empereur_Un film de Aude Lea Rapin©Les films de Pierre-2016_visuel 1

 

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