Vous avez loupé une édition ? Voici quelques sessions de rattrapage.
Tous les mercredis après minuit (dans la nuit de mercredi à jeudi) sur Arte
Mercredi 3 mai : Ce soir Arte vous propose Les rosiers grimpants, réalisé par Lucie Prost et Julien Marsa qui nous a été présenté en compétition nationale lors du Festival du court métrage de Clermont-Ferrand en 2016.
Suite à un avortement qui l’a déstabilisée, Rosalie retourne dans son village natal. Elle y retrouve sa maison d’enfance à l’abandon, la gouaille de ses meilleurs amis, son premier amour et rencontre la future femme de celui-ci…
Mercredi 17 mai : Ce soir, Treffit de Jenni Toivoniemi vous est proposé dans Court Circuit.
Ce court métrage sélectionné en compétition internationale lors de l’édition de 2013 du festival de Clermont-Ferrand raconte l’histoire de Tino, 16 ans, qui doit organiser une rencontre pour Diablo, le chat reproducteur de la famille. Face à deux femmes, Mirka, 25 ans, et Lissu, 54 ans, la virilité de Tino est également mise à l’épreuve.
Mercredi 24 mai : Vous l’avez serment vu passer par le Festival de Clermont-Ferrand cette année en compétition nationale, Chasse Royale, réalisé par Lise Akoka et Romane Guéret sera diffusé ce soir pour votre plus grand plaisir ! L’actrice principale s’est vue remettre le Prix ADAMI d’Interprétation pour son rôle.
Partez à la rencontre d’Angélique, treize ans, qui vient d’une famille nombreuse de la banlieue de Valenciennes. Ce jour-là, dans son collège, on lui propose de passer un casting.
Retrouvez l’interview des réalisatrices lors de leur passage à Clermont
Mercredi 31 mai : Sélectionné en 2016 en compétition nationale puis rediffusé cette année hors compétition lors du Festival du cour métrage de Clermont-Ferrand, Périphéria de David Coquard-Dassault vous est proposé ce soir dans Court Circuit.
Laissez vous tenter par un voyage au cœur d’un grand ensemble de banlieue laissé à l’abandon. Portrait d’un environnement urbain devenu sauvage : une Pompéi moderne où le vent souffle et les chiens rôdent, sur les traces de la vie humaine.
Tous les dimanches après 22h30 sur Canal + Cinéma
Dimanche 14 mai : Vous avez aimé Rase campagne de Pierre-Emmanuel Urcun lors de la dernière édition du Festival du court métrage de Clermont-Ferrand ? Vous avez la chance de le revoir, ce soir, dans Top Of The Shorts !
Laissez-nous planter le décor : Un village perdu dans la campagne finistérienne. Un homme est suspecté d’être porteur du virus Ebola. Il est noir. C’est Maurice. Son meilleur ami, Michel, ambulancier, sillonne le territoire avec son stagiaire Rémi pour le retrouver et le contrôler.
Interview de Lise Akoka et Romane Gueret, réalisatrices de Chasse royale
Pourquoi avoir choisi de vous intéresser à cette période de l’adolescence ?
Nous nous sommes toutes les deux rencontrées en travaillant sur le casting sauvage d’un long métrage où nous cherchions des jeunes adolescents vierges de toute expérience de tournage. Chasse royale est le fruit de rencontres que nous avons faites au cours de ce casting. Notre premier mouvement a donc été d’écrire pour ces ados que nous avions croisés et qui nous avaient tant impressionnées et touchées, sans distinction d’âge. Nous avons seulement eu des coups de cœur de personnalités pour certains d’entre eux. Cela n’empêche pas que cet âge frontière nous touche beaucoup et qu’observer ce moment où tout est en mutation, en jachère, où la personnalité se construit et s’affine, nous paraît éminemment poétique et cinématographique.
Pensez-vous que la révolte soit nécessaire à l’acquisition de l’autonomie ?
Pas toujours nécessaire non, mais souvent féconde. Du moins la révolte est parfois un très beau moyen d’expression.
Comment vous est venue l’idée d’intégrer un casting au sein du collège ? Vous êtes-vous inspirées d’un précédent tournage ? Avez-vous vécu un épisode similaire pour tourner Chasse royale ?
Chasse royale est largement inspiré de notre expérience du casting auprès d’enfants. Nous avons voulu parler de ce que nous avions observé dans cette pratique si particulière qu’est le casting sauvage. D’un côté, la magnifique expérience que cela peut-être pour un enfant, les perspectives que cela peut ouvrir, d’un autre les projections, les espoirs déçus.
Comment avez-vous travaillé l’environnement social et familial d’Angélique ? Auriez-vous pu faire Chasse royale dans un univers bourgeois ?
Nous avons travaillé en immersion. Plus d’un an et demi d’allers-retours entre Paris et Valenciennes, beaucoup de castings dans divers endroits, de rencontres : avec le corps enseignant, le voisinage, le personnel qui encadre les quartiers, ceux qui travaillent dans les foyers ; on s’est nourries de leur énergie, de l’atmosphère, et du décor. Nous n’aurions pas pu faire Chasse royale dans un univers bourgeois car il s’agirait alors d’un tout autre film, ne questionnant pas les mêmes problématiques.
Chasse royale questionne les rapports humains sous toutes ses formes, qu’est-ce qui vous intéressait le plus : le regard sur soi, le regard des autres ou le regard sur les autres ?
Effectivement Chasse royale parle de projection réciproque d’un milieu social sur un autre, il y a le point de vue des directrices de casting qui représentent le monde du cinéma et celui des enfants. On se questionne alors sur notre métier, et sur ce que le cinéma engage quand il s’invite brusquement dans la vie de ces jeunes par le biais du casting sauvage. Chasse royale est un court métrage de fiction, nous en sommes les réalisatrices, il s’agit donc de notre point de vue sur les thèmes qui nous intéressent et que nous avons décidé de mettre en lumière. Les trois regards dont vous parlez se répondent et vont difficilement l’un sans l’autre dans Chasse royale.
Dans Chasse royale, vous questionnez aussi le regard porté à travers la transposition et au sentiment de libération que peut permettre la projection, des « jeux de rôle » qu’on s’autorise ou pas… pensez-vous que le « jeu de rôle » permette de mieux appréhender le réel dans toute sa complexité ?
Oui, nous pensons que le jeu peut, s’il est bien encadré, avoir une fonction cathartique et libératrice.
Quels ont été vos coups de cœur au cinéma cette année ?
L’économie du couple de Joachim Lafosse, Willy 1er de Ludovic Boukherma, Zoran Boukherma, Marielle Gautier et Hugo P. Thomas et Elle de Paul Verhoeven.
Si vous êtes déjà venues, racontez-nous une anecdote vécue au Festival de Clermont-Ferrand ? Sinon, qu’en attendez-vous ?
Nous ne sommes jamais venues au festival de Clermont Ferrand. Nous sommes excitées et fières d’en faire partie cette année. Nous avons très envie de voir le maximum de courts métrages et profiter des nombreuses rencontres qu’offre ce festival.
Le film a-t-il bénéficié d’autres diffusions publiques ?
Il a été sélectionné en compétition officielle au festival Premiers Plans d’Angers.
Pour voir Chasse royale, rendez-vous aux séances de la compétition nationale F10.
]]>À Clermont, on n’a peut-être pas de paillettes, mais on a des confettis ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Nine Antico et Alberto Vazquez en pleine séance de dédicaces à Esprit BD © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Nine Antico et Alberto Vazquez en pleine séance de dédicaces à Esprit BD © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Michael Grudsky, réalisateur de « The Transfer » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Vincent Lynen, réalisateur de « Play Boys » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Javier Garcia, réalisateur de « Norte » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Marc Reisbig, réalisateur de « Working With Animals » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Or Sinai, réalisatrice de « Anna » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Reed Van Dyk, réalisateur de Dekalb Elementary » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Bryony Dunne, réalisatrice de « Gasper » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
L’équipe des Expresso au grand complet ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Arthur Cahn, réalisateur de « Hecrulanum » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Chuan-Yang Li, réalisateur de « Coin Boy » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Jordi Perino et Coralie Russier, réalisateur et actrice de « Marie salope » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Jules Janaud, co-réalisateur de « Animal »© Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Ladj Ly et une partie de l’équipe de « Les misérables » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Lise Akoka et Romane Gueret, réalisatrices de « Chasse royale » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Marie Misset et Armel Hemme, maîtres de cérémonie © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Les Vercingétorix sont prêts ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Arthur Cahn reçoit le Prix de la presse Télérama pour « Herculanum » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Le tout premier Prix du meilleur film documentaire (Documentaire sur grand écran) est remis à José Miguel Ribeiro pour « Estilhaços » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Paul Jadoul, lauréat du Prix du meilleur film d’animation francophone (SACD) pour « Totems » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Le Belge Vincent Lynen reçoit le Prix Canal+ labo pour « Play Boys » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Le couple Fanny Liatard et Jérémy Trouilh reçoit le Prix Canal+ national (ex æquo) pour « La république des enchanteurs » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Ladj Ly reçoit le Prix Canal+ national (ex æquo) pour « Les misérables » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Kouther Ben Hania remet la nomination aux European Film Awards à Jannis Lenz, réalisateur de « Wannabe » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Olivier Strauss, lauréat du Prix de la meilleure première œuvre de fiction avec « Dirty South » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Le Prix du meilleur film d’animation international est remis à la Polonaise Renata Gasiorowska pour « Cipka » par la jurée Ohna Falby © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Robin Fresson, ici avec le réalisateur Lorenzo Bianchi, reçoit le Prix de la meilleure photographie pour son travail sur « Le petit » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Matthieu Vigneau est auréolé du Prix de la meilleure musique originale pour « En cordée » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Lou Jomaron, productrice de « Koropa », reçoit le Prix égalité et diversité © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Anand Kishore, réalisateur de « Disco Obu », reçoit la mention spéciale du jury international © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
La seconde mention spéciale du jury international revient à Makoto Nagahisa pour « And so we Put Goldfish in the Pool » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Fernando Garcia-Ruiz Rubio reçoit sa deuxième distinction pour « Como Yo Te Amo » : le Prix du public international © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Stephan Castang, doublement récompensé ce soir avec son « Panthéon Discount » : Prix étudiant et Prix du public nationaux ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Amaury Chabauty, compositeur du film « Féfé Limbé » de Julien Silloray, vient recevoir le Prix spécial du Jury national ainsi que le Prix ADAMI d’interprétation meilleur comédien pour la performance de Pierre Valcy © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Douwe Dijkstra reçoit le Grand Prix Labo pour « Green Screen Gringo » ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Reed Van Dyk, auréolé du Grand Prix international pour « Dekalb Elementary » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Emmanuel Marre, un peu ému, reçoit le Grand Prix national des mains du jury : « Le film de l’été » est le grand gagnant © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Une belle brochette : Olivier Babinet, Marie Misset, Franco Lolli, Jean-Claude Saurel, Armel Hemme et Benoît Delépine © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Vous reprendrez bien un peu de jurés ? Franco Lolli, Kaouther Ben Hania et Ohna Falby © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Toute la team de « Como Yo Te Amo » est là (en espagnol dans le texte) ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », Paul Mas, réalisateur de « Children », Frédéric Radepont, réalisateur de « Le sens des choses », viennent présenter les films de la séance F11 au cinéma Le Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Lotfi Achour, réalisateur de « La laine sur le dos » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Fernando Garcia-Ruiz Rubio, réalisateur de « Como Yo Te Amo » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Jamie Jones, réalisateur de « The Nest » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Renata Gasiorowska, réalisatrice de « Cipka » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Jackson Kroopf, réalisateur de « BobbyAnna » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Joonas Rutanen, réalisateur de « Rakastan Annaa » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
José Miguel Ribeiro, réalisateur de « Estilhaços » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Yujian Li, réalisateur de « Pain in Silence » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Alberic Aurtenèche, réalisateur de « Sigismond sans images » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Jesus Reyes et Andrés Porras, réalisateurs de « Genaro » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Jeroen Ceulebrouck, réalisateur de « Antartica » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Ewan Jones Morris, réalisateur de « This Far Up » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Isabelle Putod, réalisatrice de « L’exilé du temps » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Chris Shepherd, réalisateur de « Johnno’s Dead » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Lotfi Achour signe l’affiche du Rio © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Lise Akoka et Romane Gueret, réalisatrices de « Chasse royale », Fabrice Le Nezet et Jules Janaud, réalisateurs de « Animal », Lotfi Achour, réalisateur de « La laine sur le dos », présentent les films en compétition nationale F10 au Rio © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau
Rencontre Talents en court Adami-CNC © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Rencontre scolaire avec Stephan Castang, réalisateur de « Panthéon Discount » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Rencontre scolaire avec Stephan Castang, réalisateur de « Panthéon Discount » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Pascale Faure en pleine interview nautique © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Souriez, vous êtes palmé ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso
Animation en pâte à modeler à l’Atelier© Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
À la découverte des origines du cinéma avec le FAR à l’Atelier © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Remise de la bourse des festivals Auvergne-Rhône-Alpes à Martin Razy © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Nicolas Schmerkin, producteur de « Journal animé », rencontre les élèves de la séance scolaire © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Frédéric Dubreuil et Sébastien Betbeder à la rencontre des spectateurs du Rio après la projection de « Voyage au Groenland » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat
Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », Paul Mas, réalisateur de « Children », Frédéric Radepont, réalisateur de « Le sens des choses », viennent présenter les films de la séance F11 au cinéma Le Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat