Paul Mas – Clermont ISFF https://clermont-filmfest.org Festival du court métrage de Clermont-Ferrand | 31 Janv. > 8 Fév. 2025 Thu, 18 Mar 2021 10:48:50 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.5.7 https://clermont-filmfest.org/wp-content/uploads/2017/10/lutin-sqp-1-300x275.png Paul Mas – Clermont ISFF https://clermont-filmfest.org 32 32 Café court – Paul Mas https://clermont-filmfest.org/cafe-court-paul-mas/ Wed, 20 Jan 2021 13:57:51 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/?p=36561 Découvrez l’interview du cinéaste français Paul Mas à propos de son court métrage Précieux présenté dans la compétition nationale 2021 (programme F4).

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Dîner avec Précieux https://clermont-filmfest.org/precieux/ Sat, 16 Jan 2021 20:00:34 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/?p=34968  

Entretien avec Paul Mas, réalisateur de Précieux

Quels matériaux avez-vous utilisés pour créer les personnages ?
Les corps des marionnettes sont en silicone. On fait une sculpture, puis un moule dans lequel on place une armature en fil d’aluminium, qui lui permettra de garder la pose. Ensuite, on verse du silicone qui, en solidifiant, prendra la forme de la sculpture initiale. Un petit peu de peinture (silicone teinté), des costumes et voilà ! Les têtes des figurants (les autres enfants) sont moulées en résine polyuréthane, un matériau dur. Elles sont creuses, pour être plus légères. Les têtes d’Emile et de Julie sont faites en silicone, en suivant un procédé similaire au corps.

Qu’est-ce qui vous a donné envie de situer l’action dans l’environnement de l’école primaire pour questionner la difficulté de votre personnage à être accueilli socialement ?
Avec Précieux, je souhaitais réaliser un film pour adulte, dont tous les personnages principaux seraient des enfants. J’ai voulu trouver l’origine des mécanismes d’exclusion, de prise de pouvoir de l’un sur l’autre qui me semblent faire système et norme actuellement. Plus je cherchais, plus je remontais le temps et m’approchais de l’enfance. L’enjeu était alors de mettre en scène ce moment de bascule, où l’individu se débarrasse d’une partie de son empathie pour survivre. Je souhaitais réaliser le film le plus universel possible. En France, les écoles se ressemblent énormément. Je pouvais donc convoquer des souvenirs communs et toucher un maximum de personnes.

Qu’apportaient à la narration les leçons de piscine en particulier ?
La piscine, c’est un endroit où l’on est à moitié nu, en face de ses camarades de classe, à moitié nus eux aussi. C’est un lieu de vulnérabilité, un cours qui est souvent redouté chez les enfants et adolescents. Mon but étant de me rapprocher le plus possible de la fragilité de mes personnages, la piscine me semblait un bon choix pour mettre en scène des moments de honte, mais aussi d’intimité entre les enfants. Les cours de piscine, c’est aussi un souvenir (désagréable) commun à beaucoup de gens…

Qu’est-ce qui vous intéressait dans le fait que les autres enfants de la classe ne soient pas identifiables à part Julie et Emile ?
Emile et Julie n’arrivent pas à se projeter dans l’autre. Julie car elle est ostracisée, Emile par son handicap. Le film se déroulant entièrement dans le regard de Julie, il me semblait important de rendre à l’image cette peur des autres, qui semblent se comporter en meute et être dépourvus d’individualité. De plus, ça m’a permis de rentrer dans mon budget car l’animation en volume favorise la fabrication à la chaîne.

Quel est l’avenir du format court-métrage d’après vous ?
De nombreux courts métrages se font quasi gratuitement, ou alors sur une base de volontariat. Il faut donc savoir comment on oriente notre regard : est-ce qu’on parle du nombre de films qui sortent ou du nombre de gens qui en vivent ? Parce que ce n’est pas du tout la même chose. Avec Précieux, j’ai eu la chance d’être payé, et de pouvoir payer mon équipe. Ça ne devrait être ni un privilège ni une chance, juste un boulot. Le format a de l’avenir, tant que des gens souhaiteront réaliser des films et auront de la volonté. Le métier de « réalisateur-trice de court métrage », c’est un autre débat.

Demain on reconfine, quels plaisirs culturels conseillez-vous pour échapper à l’ennui ?
Sans aucune hésitation : Chicken Run, l’intégrale des Harry Potter, le premier Robocop et Starship Troopers. En tout cas, des films « doudous » que l’on a déjà vus un million de fois, ça a très bien marché pour moi !

Pour voir Précieux, rendez-vous aux séances de la compétition nationale F4.

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« On vous aura prévenu » – Spéciale festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2017 (5/6) https://clermont-filmfest.org/ovap5/ Fri, 10 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/ovap5/ La société de communication et de relations publiques, Kinic, propose une émission quotidienne, « On vous aura prévenu », qui porte sur le festival international du court métrage. Cette émission est retransmise en direct depuis l’hôtel Kyriad Prestige, situé au cœur du festival entre la Maison de la culture et le Marché du film. La station de radio Variance FM, en collaboration avec la société Kinic, met à disposition ses fréquences (103.7) afin de retransmettre l’émission chaque jour en direct. Le lendemain, une rediffusion vidéo de « On vous aura prévenu », est disponible sur YouTube, le site de Variance FM, les pages Facebook de Variance FM et Kinic, ainsi que sur le site de Fan-Auvergne.com. L’émission se déroule du lundi 6 au samedi 11 février 2017.

Les invités du jour sont :
– Pauline Moreau, réalisatrice et directrice artistique de All In One Production, Antonin Lacoste, scénariste et Justine Calais Gillot, comédienne, cascadeuse et escrimeuse .
– Paul Mas réalisateur du film Children en compétition nationale (programme F11).
– Sarah Santamaria Mertens, réalisatrice du film Blind Sex en compétition nationale (programme F12).
– Isabelle Putod, réalisatrice du film L’exilé du temps en compétition Labo (programme L2).

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Jour 8 : ciné-piscine https://clermont-filmfest.org/jour-8-cine-piscine/ Thu, 09 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/jour-8-cine-piscine/

Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », Paul Mas, réalisateur de « Children », Frédéric Radepont, réalisateur de « Le sens des choses », viennent présenter les films de la séance F11 au cinéma Le Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Lotfi Achour, réalisateur de « La laine sur le dos » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Fernando Garcia-Ruiz Rubio, réalisateur de « Como Yo Te Amo » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jamie Jones, réalisateur de « The Nest » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Renata Gasiorowska, réalisatrice de « Cipka » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jackson Kroopf, réalisateur de « BobbyAnna » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Joonas Rutanen, réalisateur de « Rakastan Annaa » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

José Miguel Ribeiro, réalisateur de « Estilhaços » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Yujian Li, réalisateur de « Pain in Silence » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Alberic Aurtenèche, réalisateur de « Sigismond sans images » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jesus Reyes et Andrés Porras, réalisateurs de « Genaro » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Jeroen Ceulebrouck, réalisateur de « Antartica » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Ewan Jones Morris, réalisateur de « This Far Up » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Isabelle Putod, réalisatrice de « L’exilé du temps » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Chris Shepherd, réalisateur de « Johnno’s Dead » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Lotfi Achour signe l’affiche du Rio © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Lise Akoka et Romane Gueret, réalisatrices de « Chasse royale », Fabrice Le Nezet et Jules Janaud, réalisateurs de « Animal », Lotfi Achour, réalisateur de « La laine sur le dos », présentent les films en compétition nationale F10 au Rio © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Rencontre Talents en court Adami-CNC © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Rencontre scolaire avec Stephan Castang, réalisateur de « Panthéon Discount » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Rencontre scolaire avec Stephan Castang, réalisateur de « Panthéon Discount » © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Pascale Faure en pleine interview nautique © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Souriez, vous êtes palmé ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Animation en pâte à modeler à l’Atelier© Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

À la découverte des origines du cinéma avec le FAR à l’Atelier © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Remise de la bourse des festivals Auvergne-Rhône-Alpes à Martin Razy © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Nicolas Schmerkin, producteur de « Journal animé », rencontre les élèves de la séance scolaire © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Frédéric Dubreuil et Sébastien Betbeder à la rencontre des spectateurs du Rio après la projection de « Voyage au Groenland » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », Paul Mas, réalisateur de « Children », Frédéric Radepont, réalisateur de « Le sens des choses », viennent présenter les films de la séance F11 au cinéma Le Rio © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

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Goûter avec Children (Les enfants) https://clermont-filmfest.org/children/ Tue, 07 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/children/  

Interview de Paul Mas, réalisateur de Children (Les enfants)

 

la mouche cf Comment vous est venue l’idée de réaliser Children ?
Le projet s’est construit autour du personnage de Nicolas. Dans ma vie personnelle, j’ai souvent tenté de comprendre des personnes moralement condamnables, voire de me faire l’avocat du diable… Mon intention de base était de mettre le spectateur en position de juge durant tout le film, de le faire réfléchir, douter, peut-être même entrer en empathie avec Nicolas.  C’est pourquoi j’ai écrit ce personnage de jeune ultra violent, mais détaché et un peu benêt, se situant dans une « zone grise » morale…

la mouche cf Avez-vous envisagé un tournage avec des acteurs en chair ou la marionnette s’est-elle imposée dès le départ ?
Dès le début, je voulais tourner le film en stop motion. C’est mon moyen d’expression depuis ma préadolescence, et j’aurais du mal à envisager d’autres techniques… Cependant je voulais me rapprocher le plus possible de la prise de vue réelle dans la manière de tourner, de monter… Ainsi, j’ai passé beaucoup de temps avec les acteurs sur des questions de jeu, de rythme… On répétait le texte a la manière d’une pièce de théâtre, plusieurs fois, jusqu’à trouver une dynamique qui se tenait et semblait crédible. À la fin, on a tout enregistré d’une traite, et j’ai construit le film sur les dialogues, sans toucher à la piste… Ainsi le rythme du film était amené par les acteurs et non par une animatique, comme on procède habituellement en animation. Et lors de l’animation des plans, je tournais deux secondes de plus au début du plan, et deux secondes de plus à la fin : ça me laissait plus de liberté lors du montage. Du coup le processus de fabrication du film était un peu hybride.

la mouche cf Comment avez-vous travaillé le corps de Nicolas ?
Les marionnettes sont construites autour d’une armature en métal qui leur permet de garder la pose lors de l’animation. Ensuite, les volumes principaux du corps sont construits en bois et collés sur l’armature. Après, je comble les espaces entre les volumes de bois avec de la mousse de matelas collée sur l’armature. Les parties en « peau » comme le visage, les mains, sont d’abord sculptées, puis tirées en silicone et peintes avec un mélange de silicone et de peinture à l’huile. Les costumes sont faits en tissu, en prenant bien les mesures des marionnettes pour que ça tombe bien. Les cheveux sont d’origine humaine ou synthétique, et je les travaille mèche par mèche avec de la laque, avant de les coller avec de la silicone sur le crâne. C’est très fastidieux mais lors de la fabrication, on s’attache aux marionnettes, et donc aux personnages…

la mouche cf L’impression de marmonnement de Nicolas est-elle voulue et pourquoi ?
Le système d’animation de la bouche était assez rudimentaire par manque de temps (il ne peut qu’ouvrir et fermer la bouche, pas articuler des syllabes…). Cependant, lors du tournage des voix, Clément Lefebvre marmonnait lui aussi (il avait un petit rhume ce jour-là !)… Ça donnait un coté détaché et taciturne – Nicolas, et ça me plaisait bien. Du coup j’ai essayé de garder cet effet lors de l’animation. L’animation en volume est extrêmement contraignante, et on est souvent amenée à s’adapter aux avaries techniques…

la mouche cf Pourquoi étiez-vous intéressé par la question du harcèlement scolaire ?
Au début de l’entretien, Nicolas refuse toute explication rationnelle a ses actes, toute « raison ». Il considère que son acte est complètement gratuit… La question du harcèlement scolaire est, au début du film, présente pour être évacuée par Nicolas, qui refuse d’admettre que ses actes sont motivés par des circonstances extérieures à lui même… C’est donc au spectateur de déterminer si les moqueries sont à l’origine de sa violence.

la mouche cf Où sont les adultes dans Children ?
Il y a une adulte, c’est Claire, la psychiatre ! Son histoire personnelle n’est pas montrée dans le film, mais je l’ai pensé comme une jeune diplômée sortant de l’école, qui fait preuve d’empathie, de capacité d’écoute… Elle flanche légèrement face à Nicolas, ça pourrait très bien être son premier cas. Dans l’avant-dernière version du scénario, Claire avait des problèmes avec sa hiérarchie à la fin du film : elle demandait à Maitre Durand un supplément de temps pour rendre son rapport, et elle se le voyait refusé. C’était intéressant car ça permettait d’opposer un monde « des adultes », responsable et rigoureux face à Nicolas… Mais j’ai retiré cette scène car elle faisait perdre au film son intensité dramatique : je craignais que le spectateur « sorte » de l’entretien…

la mouche cf Enfin, avant de réaliser Children, avez-vous entrepris des recherches sur le rapport entre folie et violence ?
Je me suis intéressé a de nombreux cas semblables à celui de Nicolas, où le tribunal hésite entre la prison et l’asile… Je me suis renseigné sur Anders Breivik, ou encore Alain Lamare (un homme ayant enquêté sur un meurtre qu’il avait commis lui-même !). Cette hésitation sur la question de l’irresponsabilité pénale est fréquente. J’ai également lu The Psychopath Test de Jon Ronson (Picador, 2012), qui condamne le sur-diagnostic des maladies mentales (dans certains cas). J’ai aussi parcouru le DSM5, le « Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux ». C’est le livre de référence en université et également lors des procès lorsqu’il s’agit de déceler un trouble mental chez une personne. Donc oui, beaucoup de recherches… Je voulais que le film soit crédible et réaliste.

la mouche cf Quels ont été vos coups de cœur au cinéma cette année ?
Ma vie de courgette de Claude Barras, évidemment ! Également Anomalisa de Charlie Kaufman et Duke Johnson. Sinon je ne vais, paradoxalement, pas beaucoup au cinéma… Je regarde les films chez moi ! Mais je suis très influencé par Funny Games, de Michael Haneke, par le travail documentaire de Depardon, Satoshi Kon…

la mouche cf Si vous êtes déjà venu, racontez-nous une anecdote vécue au Festival de Clermont-Ferrand ? Sinon, qu’en attendez-vous ?
Je suis déjà venu une fois au festival, en 2015 ! C’était très éprouvant, tout le monde dans ma colocation est tombé malade et tout le monde avait plein de problèmes en même temps… J’ai fini le festival complètement épuisé, heureusement certains courts métrages ont sauvé le tout ! Je me rappelle notamment de Ton cœur au hasard de Aude Léa Rapin, qui m’avait bien stimulé. Sinon pour cette année j’espère voir de bons films, et pouvoir présenter Children à des gens qui n’ont pas l’habitude de voir de l’animation. Et boire des bières !

la mouche cf Le film a-t-il bénéficié d’autres diffusions publiques ?
Il est passé au Carrefour de l’animation, au Forum des images à Paris. Également au festival Panam Anim.

la mouche cf D’autres participations sont-elles prévues durant le festival (rencontres, expressos, etc.) ?
Je fais les expressos, ainsi qu’une projection au Rio ou on pourra discuter avec le public, c’est vendredi 10 février, après la projection de 17h.

 

 

Pour voir Children, rendez-vous aux séances de la compétition nationale F11.

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Jour 6 : Bogoshorts s’expose, Canal+ s’exporte https://clermont-filmfest.org/jour-6-bogoshorts-sexpose-canal-sexporte/ Tue, 07 Feb 2017 23:00:00 +0000 https://www.clermont-filmfest.org/jour-6-bogoshorts-sexpose-canal-sexporte/

Vernissage de « Bogoshorts s’expose » salle Gaillard © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Il n’y a pas d’âge pour le court métrage ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

En route pour les séances ECO au Capitole ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

En route pour les séances ECO au Capitole ! © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

« Développer mon projet de court métrage » à la MIU © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

« Du court au long » à la MIU © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Alexandru Petru Badelita, réalisateur de « I Made You, I Kill You » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Amr Gamea, réalisateur de « Haga Sa’a » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Ana Carolina Soares, réalisatrice de « Estado Itinerante »© Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Aude Léa Rapin, Antonia Buresi et Jonathan Couzinié, réalisatrice et acteurs de « Que vive l’empereur » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Bayu Prihantoro Filemon, réalisateur de « On the Origin of Fear » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Emmanuel Marre, réalisateur de « Le film de l’été » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Frédéric Radepont, réalisateur de « Le sens des choses », et son équipe © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Guillaume Kozakiewiez, réalisateur de « Je les aime tous » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Jan Saska, réalisateur de « Happy End » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Jannis Lenz, réalisateur de « Wannabe » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Matthieu Vigneau, réalisateur de « En cordée » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Greg Johnson (alias Lord Mongo), compositeur et Nick Jordan, réalisateur de « Thought Broadcasting » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Paul Mas, réalisateur de « Children » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Rûken Tekes, réalisatrice de « Hevêrk » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Sam Manasca, réalisatrice de « Kung Wala Nang Tulad Natin » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Sarah Santamaria-Mertens, réalisatrice de « Blind Sex » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Szilárd Bernáth, réalisateur de « Fizetös Nap » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Vladimir Mavounia-Kouka et Marie Amachoukeli, réalisateurs de « I Want Pluto to Be A Planet Again » © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Yennifer Uribe Alzate, réalisatrice de « Como la Primera Vez »© Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Ivan D. Gaona et Ingrid Perez Lopez, réalisateur de la rétro colombienne © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Visite du Marché en compagnie d’Olivier Bianchi et Frédérique Bredin © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Visite du Marché en compagnie d’Olivier Bianchi et Frédérique Bredin © Sauve qui peut le court métrage, Juan Alonso

Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », rencontre les élèves de la séance scolaire © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Lola Quivoron, réalisatrice de « Au loin, Baltimore », rencontre les élèves de la séance scolaire © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Toi aussi, inscris-toi comme bénévole au festival, on est bien ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

L’affaire est dans le sac (en vente à la boutique) ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Tanguy Perron, historien, nous parle du Front populaire au cinéma dans la séance « Court d’histoire » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Mathias Malzieu en dédicaces à la librairie Les Volcans © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Séance « Court en musiques » © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Vernissage de « Bogoshorts s’expose » salle Gaillard © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Rencontre avec les réalisateurs du programme K2 à l’école supérieure d’art Clermont Métropole © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Séance Minuit Polar à Cocteau © Sauve qui peut le court métrage, Rémi Boissau

Ambiance bleutée à la fête Canal+ © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

Musique ! © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

L’Hôtel Fontfreyde aux couleurs de Canal+ © Sauve qui peut le court métrage, Baptiste Chanat

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