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Goûter avec Todo es Culpa de la Sal (Tout est de la faute du sel)

10 janvier 2021
Festival, Rencontre avec...
  • todo_es_culpa_still4-OK-RVB

 

Entretien avec María Cristina Pérez González, réalisatrice de Todo es Culpa de la Sal (Tout est de la faute du sel)

Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Le titre s’inspire d’une phrase que l’on utilise dans ma famille lorsque l’on cherche le responsable d’un problème. Il fait aussi référence à un objet (le sel) présent en permanence sur la table familiale, et pourtant presque invisible.

Cette histoire est-elle autobiographique ? Comment avez-vous sélectionné les épisodes et histoires que vous vouliez raconter ?
Seules quelques scènes sont basées sur mon histoire personnelle, le reste est de la fiction. Je me suis inspirée des sentiments liés à la fragilité au sein d’une famille. Ils sont tirés de mes expériences, mais aussi de celles de mes amis qui traversent les mêmes choses. L’histoire aborde donc la famille et les relations. Elle s’articule autour de scènes montrant des comportements que l’on préfère cacher, qui restent dans le cadre familial. Ce sont des situations qui nous touchent personnellement, ou certains de nos comportements qui affectent notre entourage et sont profondément ancrés dans notre nature, parfois très sauvage. J’aime l’idée que les spectateurs voient au début une série de situations communes à toutes les familles, sans grande importance, puis qu’ils prennent petit à petit conscience des failles qui surgissent de la normalité apparente de la vie quotidienne. À la fin, les spectateurs ont l’impression de connaître les secrets de cette famille.

Pourquoi avoir choisi des paresseux pour incarner les personnages ?
Utiliser des animaux pour raconter des histoires me permet de mettre en avant le fait que nos comportements peuvent nous amener à douter de notre humanité. Le choix des paresseux est avant tout un choix visuel : ce sont des animaux avec des caractéristiques physiques similaires à celles des humains (dans une certaine mesure). Ils n’ont pas de grandes oreilles, de gros museau ni de cornes : il est donc plus facile de les « humaniser ». De plus, leurs visages sont très expressifs en raison de leurs traits. Aussi, lorsque j’ai commencé à écrire l’histoire, j’aimais l’idée que l’un des personnages agisse selon sa vraie nature de paresseux, sans que cela soit en décalage avec l’histoire de la famille, et que ce trait de personnalité soit un élément plutôt hors du commun. Les paresseux m’ont donc permis d’enrichir l’histoire.

Pouvez-vous nous parler de votre style d’animation ? Quels sujets aimeriez-vous aborder à l’avenir ?
Mon style d’animation est né de mon amour pour l’art et ce qui est fait à la main. J’essaie de rester vraie vis-à-vis de cette esthétique. J’ai commencé à regarder des courts métrages utilisant des techniques traditionnelles et je me suis prise de passion pour les processus et leurs pouvoirs visuels. Ce court métrage est une animation image par image : tout est dessiné et peint à la gouache directement sur du papier. Rien n’a été ajouté à l’étape du montage, à part les mouvements de caméra qui font penser à une vidéo tournée à la maison. Je voulais mettre l’accent sur le rendu manuel et imparfait obtenu grâce à ces techniques artisanales : les coups de pinceau visibles, les mouvements de la main, les lignes floues, la richesse des textures et le mouvement image par image. Pour mes prochains projets, j’aimerais aborder des sujets tels que les comportements et les relations, tout ce qui caractérise les êtres humains : dilemmes, qualités, honte, signes particuliers ou peurs.

Quel est l’avenir du format court métrage d’après vous ?
Pour moi, les courts métrages, et surtout les courts métrages d’animation, sont une forme d’expression artistique autonome. Ils sont différents des longs métrages, mais pas moins importants. Ils montrent des points de vue, des formes de narration et des styles visuels différents et audacieux. Ils jouent un rôle central dans la cinématographie de tous les pays. J’espère que grâce à la prolifération des écrans, ils joueront un rôle plus important dans l’énorme offre audiovisuelle actuelle et qu’ils seront accessibles à un public très varié. C’est incroyable de voir que sont produits chaque année de nombreux courts métrages fantastiques, qui ne demandent qu’à trouver leur public.

Si nous devions être à nouveau confinés, quel petit plaisir culturel ou artistique nous recommanderiez-vous pour tromper l’ennui ?
De manière générale, je recommanderais les arts, qui se sont prouvés, une fois de plus, être indispensables à notre existence. J’ai été souvent surprise ces derniers temps, et j’ai du mal à faire une recommandation en particulier. Mais le cinéma est l’une des rares activités à pouvoir nous redonner l’envie d’aller de l’avant. Il m’a sauvée plus d’une fois : il m’a énormément appris, il a changé mon regard sur les choses, il m’a stimulée et il m’a procuré des émotions. Si nous devions de nouveau être confinés, je vous recommanderais de vous laisser surprendre par des films du monde entier.

Pour voir Todo es Culpa de la Sal (Tout est de la faute du sel), rendez-vous aux séances de la compétition internationale I3.

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