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    22 décembre 2017
    Festival
    By j.westermann
    • rhapsody

    Rhapsody de Constance Meyer (France – 2015)

     

    Nombreux sont les réalisateurs à avoir fait leurs premières armes dans le court.

     

    Mais ce sont les comédiens qui occupent, proclament la première ligne, sous les ordres du scénario et de la mise en scène, braves soldats plus si inconnus du septième art. Des débuts hésitants aux retours fracassants, des hommages vibrants aux premières fois tardives, ces « gueules castées », devenues parfois monstres sacrés, nous sont aujourd’hui familières.

     

    De celles croisées au hasard d’une séance et que l’on n’a jamais pu oublier, ou de celles des habitués que l’on prend plaisir à retrouver chaque année, ces gueules célèbres ou enfarinées, ces grandes gueules, ces sales gueules, ces gueules d’amour et, en définitive, ces gueules de courts, qui accompagnent les longues soirées d’hiver des festivaliers, sont devenues, avec le temps, des visages amis, points de repère cinéphiliques, nos camarades des salles obscures.

     

    Ils sont nombreux, tout au long de ces quarante ans, à avoir marqué notre mémoire de spectateur au fer rouge : de Karin Viard, étouffée par la bienveillance ourlée de tendresse de parents attentionnés (Une visite, Prix spécial du jury 1996 ex æquo) à Eric Caravaca dans un face caméra confessionnel bouleversant (Dedans ) en passant par la course-poursuite amoureuse d’un silence assourdissant de Bruno Lochet après Amira Casar (Départ immédiat, Prix spécial du jury 1996 ex æquo), les revendications syndicalistes tenues par l’ouvrier François Cluzet face à un patron coriace à trente mètres au-dessus du sol (Dialogue au sommet de Xavier Giannoli) ou le sourire triste du colosse Serge Riaboukine, déconcertant de fragilité dans La leçon de guitare.

     

    Bien sûr, il y a le pan d’une nouvelle génération d’acteurs désormais évidentes pour les festivaliers, ces comédiens dont on ne compte même plus les apparitions, fugitives ou affirmées mais toujours remarquées, ces bobines familières dont il est temps de retenir les noms : citons parmi eux Franc Bruneau (People Are Strange), Philippe Rebbot (Donde Está Kim Basinger?,  Grand Prix et Prix CANAL+ 2010, mais également présent en compétition nationale dans Waterfountain et Panique au sénat) le prolifique Vincent Macaigne (remarqué en tant que réalisateur avec Ce qu’il restera de nous, Grand prix et Prix de la Presse nationaux en 2013, passé devant la caméra dans Les lézards de Vincent Mariette), Benoît Forgeard ou Esteban, tous ces éternels losers magnifiques qui ne cessent pourtant de nous surprendre et nous enchanter.

     

    Figures incontournables toujours, les femmes ne manqueront pas à l’appel, parmi lesquelles Léa Drucker, inoubliable mère de famille traquée au courage inébranlable dans le prodigieux Avant que de tout perdre de Xavier Legrand (dont le long métrage Jusqu’à la garde, volet précédant le court métrage, sortira en salles pendant le festival, le 7 février 2018), Laëtitia Spigarelli (également à l’affiche de Roméo et Pourquoi j’ai écrit la Bible en compétition nationale) en jeune femme recluse dans un appartement dont le seul lien au monde extérieur sont les conversations avec les inconnus qui voudront bien décrocher aux appels qu’elle passe quotidiennement à la cabine téléphonique en bas de chez elle (Décroche), Vimala Pons, attachante et maladroite, déterminée à assouvir sa vengeance (J’aurais pu être une pute), Mathilde Bisson, en autostoppeuse gothique impassible et imprévisible (People are Strange), Maïwenn dans son premier court métrage dont on ressent déjà l’inspiration autobiographique (I’m an actrice, 2004).

     

    Il va de soi que nous ne pouvions échapper à la posture du comédien comme sujet, d’abord à travers le témoignage documentaire, celui de Kacey Mottet Klein, depuis ses premiers castings à sa nomination aux César dans la catégorie Meilleur espoir masculin en 2012, l’enfant devenu jeune homme et acteur accompli se livre sur son parcours, sous le regard bienveillant et protecteur de la réalisatrice Ursula Meier (Kacey Mottet Klein, naissance d’un acteur). Nous pousserons cette dissection du « répliquant » via le prisme de la fiction, intemporelle, mettant en scène la solitude du comédien cantonné au second rôle, sur scène comme au cœur de la troupe (Emmanuel Salinger dans Bête de scène) ou celle de l’actrice face à elle-même après la représentation, avec la puissante Hiam Abbass, encore habitée par son rôle, en pleine séance de démaquillage et d’introspection dans Nothing Escapes My Eyes, montré pour la première fois à Clermont-Ferrand.

     

    Des exclusivités, il y en aura d’autres : un Vincent Lacoste au cœur brisé, que la tendresse excessive de ses parents et le soutien de ses amis ne parviennent pas à le tirer de son abattement (Après Suzanne de Félix Moati), le road trip mélancolique des tout jeunes et déjà prometteurs Finnegan Oldfield (à l’affiche de nombreux longs métrages dont le dernier en date est Marvin ou la belle éducation de Anne Fontaine) et Solène Rigot (vue notamment dans Tonnerre de Guillaume Brac, et à l’affiche de Le visage, en compétition nationale) dans Panda de Anthony La Pia, André Wilms, fourbe, désespéré et désarmant en alcoolique désœuvré dans Jacques a soif ou enfin, le premier film de Mathieu Kassovitz, aussi drôle que réjouissant (Fierrot le pou, 1991).

     

    À la lumière de ces quarante années parcourues à leurs côtés et à travers eux, il nous tient à cœur, sans flagornerie ni adulation mais avec un profond respect et une infinie gratitude, de rendre hommage à ceux qui ont fait et continuent de faire les beaux jours du court : bienvenue à l’école des acteurs.

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