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  • Breakfast avec L’âge tendre

    31 janvier 2020
    Festival, Rencontre avec...
    By Élise Loiseau
    • age_tendre

     

    Entretien avec Julien Gaspar-Oliveri, réalisateur de L’âge tendre

    L’âge tendre raconte la tentative d’émancipation d’une adolescente prise dans une relation fusionnelle et exclusive avec sa mère. Qu’est-ce qui vous a donné envie de la mettre en scène ?
    Le personnage de Diane est né d’une rencontre marquante. Ce n’est pas son histoire mais plutôt à partir de cette rencontre que j’ai eu l’envie de passer du temps à filmer une jeune fille en manque de repères. J’ai inventé beaucoup de choses à partir du peu de temps où j’ai eu affaire à elle. Une fois que le personnage a émergé, j’ai cherché à créer un débordement et la fiction s’est totalement emparée du sujet. Ensuite, il y a l’envie de filmer des femmes. Jusqu’à aujourd’hui, j’ai toujours eu envie de mettre en scène des personnages féminins et de parler de la famille. Dans mon précédent film, Villeperdue, je racontais la vie d’une mère avec ses deux enfants adultes. Il y avait déjà des liens très fusionnels. La mère est souvent au centre de ce que j’écris. Dans L’âge tendre, j’ai déplacé mon regard pour observer les comportements d’une jeune fille dans une famille monoparentale sans aucune limite de ton avec sa mère. L’adolescence était le sujet de base, et je l’ai pris comme un laboratoire. Je voulais écrire un personnage à la frontière pour mieux filmer sa chute entre son besoin de s’émanciper et son désir pour les hommes qu’elle ne connaît pas.

    Comment avez-vous travaillé avec Noée Abita, qui livre une interprétation très juste du personnage de Diane ?
    Très simplement. J’ai choisi Noée au premier rendez-vous sans lui faire passer d’essai. J’avais envie de cette prise de risque d’abord pour moi-même. Je voulais tenter quelque chose avec elle sans trop la connaître. Je l’avais un peu vue jouer et elle me paraissait à l’opposé du personnage de Diane. C’est justement ce paradoxe qui m’a séduit. J’aime profondément diriger les acteurs, j’aime voir les choses autrement qu’à l’écriture. Notre rencontre avec Noée s’est donc construite sur le tournage, et nous avons démarré le travail par les séquences les plus brutes du film. On a tout de suite été au coeur des choses et du personnage. J’avais le désir d’un environnement qui glisse autour d’elle, d’un tourbillon. C’est dans ses silences que le personnage m’intéressait le plus. Noée s’est fondue dans l’image avec l’intensité que j’avais ressentie en la rencontrant. Je lui ai donné toute ma confiance. On a beaucoup rigolé car j’aime travailler dans la légèreté et créer une atmosphère aussi détendue que possible pour tout le monde.

    Vous avez également travaillé au théâtre en tant que metteur en scène. Cette expérience change-t-elle, selon vous, votre rapport au cinéma ? Dans votre manière de diriger les acteurs, ou lors de l’écriture ?
    Ces deux mondes sont extrêmement complémentaires. Mon expérience de la scène me guide forcément dans l’approche d’un tournage, et l’inverse également. C’est pour moi deux façons différentes d’engager les choses, mais qui ne s’opposent absolument pas. Par exemple, le théâtre m’a sans doute donné le goût du plan-séquence et du gros plan au cinéma. Il y a des choses qu’on ne voit bien qu’avec un objectif, d’ailleurs on voit rarement les gens d’aussi près quand on ne les connaît pas intimement. J’ai eu envie de faire du cinéma pour aller plus loin avec les acteurs. C’est ma plus grande motivation, dès l’écriture. Une personne qui entre en scène débarque avec un paysage intérieur, le cinéma permet de le filmer dans le détail. C’est là que j’aime observer le travail et l’imaginaire d’un interprète.

    Quelles sont vos œuvres de référence ?
    J’aime la frontalité de Rosetta des frères Dardenne. La délicatesse sublime de La chambre du fils de Nanni Moretti. L’oeuvre de Lars Von Trier et Kubrick pour la liberté d’un film à l’autre et la créativité. Sweet Sixteen de Ken Loach pour ses personnages et la tendresse qu’il a pour eux.

    Y a-t-il des libertés que le format court métrage vous a apportées ?
    Faire un film reste une drôle d’expérience quel qu’en soit le résultat. Dans mon cas, je trouve ma liberté dans une forme d’urgence. La liberté vient du plateau. Il est possible de faire plus de tentatives avec un court-métrage, mais il faut toujours s’efforcer de garder cet objectif, quel que soit le format. Si le geste ne va pas au bout, alors on voit l’idée seulement. Il y a un schéma structurel un peu classique dans l’écriture d’un film, ce qui m’importe c’est de permettre des accidents tout autour.

    Pour voir L’âge tendre, rendez-vous aux séances de la compétition nationale F1.

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