Enter your email Address

Fest_25_carre_retina
Fest_25_carre_retina
Faire un don Presse
Fest_25_new_retina
  • La Jetée

    Clermont-Ferrand

    • Centre de documentation
    • Événements réguliers
    • Séances courts métrages
    • Formations
    • Séminaires
    • Tous les courts
  • Festival31 JAN. > 8 FÉV.

    du court métrage

    • Aperçu
    • Participer
      • Inscrire un film
      • Devenir bénévole
      • Jurys étudiants
      • Guide de survie festivalier
      • Professionnel·le·s
      • Billetterie
      • Groupes scolaires
      • Jeunes Publics
    • Aller plus loin
      • Catalogues
      • Boutique
      • Newsletter Festival
      • Prix 2024
      • Le Trombino
      • Charte de bonne conduite
      • Nos engagements
      • La Brasserie du court
      • Ils sont passés par le Festival
    • Informations pratiques
      • Lieux du Festival
      • Déplacements
        • Venir à Clermont-Ferrand
        • Se déplacer à Clermont
      • Hébergement
      • Restauration
    • Archives
  • Marché3 > 6 FÉV.

    du film court

    • Aperçu
    • MEDIA Rendez-vous
    • Euro Connection
    • Shortfilmwire+
    • Participer
      • Sur place
      • À distance
    • Accueil Pro
    • Préparer ma visite
  • Circuits

    de diffusion

    • Circuit Court
    • Courts collectifs
    • Diffuser des programmes
    • Clermont dans la lucarne
    • Shortfilmdepot
  • Short Cuts

    Professionnalisation

    • Résidences
    • Formations
    • Accompagnements
    • Ateliers
  • Pôle

    d’éducation aux images

    • Événements à venir
    • Actions
      • Séances Jeunes Publics
      • Ateliers pédagogiques
      • Anatomie du Labo
      • L’Atelier
      • Concours Jeune critique
        • Concours de la jeune critique 2025
        • Concours de la jeune critique 2024
      • Ciné en herbe
      • Rencontres des acteurs de l’éducation aux images en Auvergne-Rhône-Alpes
        • 24e édition
        • 23e édition
        • 22e édition
        • 21e édition
        • 20e édition
        • 19e édition
        • 18e édition
        • 17e édition
        • 16e édition
      • Audio description
      • Prix littéraire Auvergne-Rhône-Alpes
      • Raconte-moi ta vie
    • Dispositifs
      • Passeurs d’images
      • Culture à l’hôpital
      • Culture en prison
      • Maternelle au cinéma
      • Ecole et cinéma
      • Collège au cinéma
      • Lycéens au cinéma
      • Sections Cinéma Audiovisuel
      • Cité de tous les talents
    • Formations
      • Festival du court métrage
      • Enseigner le cinema
      • École et cinema
      • Collège au cinéma
      • Lycéens au cinéma
      • Section cinéma
      • PREAC cinema
      • Université
      • MIRE / ESPE
    • Ressources
      • Outils pédagogiques
      • Dossiers pédagogiques
      • Histoire du cinéma
      • Le fil des images
      • Transmettre le cinéma
      • Côté Court – LDVTV
        • Côté Court 2019
        • Côté Court 2018
        • Vu en court 2017
        • Vu en court 2016
        • Vu en court 2015
        • Vu en court 2014
        • Vu en court 2013
        • Vu en court 2012
  • Commission

    du film Auvergne

  • Nos newsletters
  • Nous recrutons
  • Actualités
  • Archives
  • Historique
  • Équipe
  • Partenaires
  • Publicité
  • Contact

© Sauve qui peut le court métrage

Mentions légales | Confidentialité

  • FR
  • EN
  • Goûter avec Sol del Llano (Soleil des plaines)

    13 janvier 2020
    Festival, Rencontre avec...
    By Élise Loiseau
    • sol-del-llano_rvb-5

     

    Entretien avec Manuela Irene Espitia, réalisatrice de Sol del Llano (Soleil des plaines)

    Qu’est-ce qui vous a inspiré l’histoire de cette mère et de ses deux enfants ?
    Au moment où je suis devenue mère, j’ai perdu ma cousine. C’était très dur sur le plan émotionnel, et j’ai ressenti le besoin de faire un nouveau film. J’ai tenu à tourner le film chez mes grands-parents, dans les plaines de Colombie, où j’avais passé de nombreux étés avec mes cousins. Le film lui est dédié et il est imprégné de nos souvenirs d’enfance.

    Qu’est-ce qui vous intéressait dans ces relations familiales ?
    D’abord, je m’intéressais surtout à la complicité tacite entre la petite fille et sa grand-mère. Cette partie du film venait d’une anecdote que m’a racontée un ami sur son enfance ; mais en écrivant le scénario et en visitant la maison, la souffrance de la mère vue par les yeux de la petite fille est passée au premier plan. Au final, le film parle surtout du regard des enfants sur les crises que traversent les adultes, et de leur façon de faire face à ces périodes inattendues qui changent leur perception des choses.

    Pouvez-vous nous en dire plus sur l’histoire de la petite fille, Meli ?
    L’histoire du personnage n’a pas d’importance, et si j’en parle, je serai obligée d’inventer. Je pense que les films sont des entités indépendantes qui forment un tout, et c’est au spectateur de compléter les éléments qui lui manquent. Quand on est face à un film aussi ouvert, qui n’explique ni l’origine ni les motivations des personnages, qui ne propose pas de justification à ce qui se passe, il n’est pas question de porter un jugement moral ; c’est une expérience cinématographique enrichie mentalement par chaque spectateur, à sa façon, avec son propre vécu et sa propre interprétation des choses.

    Que voudriez-vous que le spectateur en retire ?
    Je souhaite susciter une émotion par le biais de l’empathie. Pour moi, l’émotion dans l’art est quelque chose qui pousse à réfléchir sur ce que l’on vit soi-même. Ce que je souhaitais principalement, c’était de faire un film qui parle de la dureté et de l’importance de l’amour. Il y a aussi le thème de la nature, qui joue un rôle très différent, même si ses mécanismes sont inatteignables par l’être humain, on peut voir dans le film un certain parallèle entre l’amour et la nature.

    Diriez-vous que le format court vous a donné une certaine liberté ?
    Il m’a surtout donné la possibilité de faire des films. C’est un format génial, dans lequel on peut maîtriser entièrement tous les aspects de la production, et en cela il octroie une liberté indispensable pour donner libre cours à la créativité. Dans Sol del Llano, le chef opérateur et moi-même étions aussi producteurs, et comme nous tournions chez mes grands-parents et aux alentours, la plupart des décisions étaient entièrement entre nos mains. C’était un travail très exigeant, mais on a pu changer le plan de tournage quand des obstacles se sont présentés, et ça m’a aussi donné la liberté de modifier des choses dans l’histoire au fur et à mesure. On était aussi libres de tourner telle ou telle scène quand ça nous arrangeait, en s’adaptant aux acteurs non professionnels et à leur évolution au fil du tournage, et grâce à la contribution généreuse de la seule actrice professionnelle, Javiera Valenzuela, qui joue le rôle de la mère. C’était un exercice en interne, qui nous laissait un maximum de liberté. Comme nous n’avions pas d’assistant réalisateur, nous nous réunissions à la fin de chaque journée avec le producteur exécutif pour préparer la journée suivante, en prenant en compte combien de pages et de scènes il fallait boucler pour finir dans les temps.

    Quelles sont vos références cinématographiques ?
    Au fil des années, il y a eu plein de films qui m’ont marquée et m’ont accompagnée dans mon apprentissage de la réalisation. Je peux citer Gasman de Lynne Ramsay, Les 400 coups de Truffaut, Mouchette de Bresson, Salaam Bombay! de Mira Nair, Où est la maison de mon ami ? de Abbas Kiarostami et Le ballon blanc de Jafar Panahi. Ils sont tous remarquables, car ils plongent le spectateur au cœur des difficultés des enfants qu’ils mettent en scène.

    Pour voir Sol del Llano (Soleil des plaines), rendez-vous aux séances du programme I14 de la compétition internationale.

    auvergne, Auvergne-Rhône-Alpes, cinema, clermont-ferrand, ClermontFF20, competition, compétition internationale, court métrage, director, entretien, Festival International du court métrage, film, filmmaker, I14, international, international competition, International short film festival, interview, Manuela Irene Espitia, réalisatrice, rencontre, short film, Sol del Llano
    Réseaux
    Dernières actualités
    • Ciné-kids – 𝘾𝙝𝙖𝙣𝙩𝙤𝙣𝙨 𝙨𝙤𝙪𝙨 𝙡𝙖 𝙋𝙡𝙪𝙞𝙚

      3 décembre 2024
    • Les écritures d’un film

      15 avril 2025
    • Les écritures d’un film

    • Conférence : 𝘾𝙧𝙚́𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙚𝙩 𝙞𝙣𝙩𝙚𝙡𝙡𝙞𝙜𝙚𝙣𝙘𝙚 𝙖𝙧𝙩𝙞𝙛𝙞𝙘𝙞𝙚𝙡𝙡𝙚, par Ismaël Joffroy Chandoutis

      19 mars 2025
    • Ciné-kids : 𝙇𝙚 𝙧𝙤𝙞 𝙙𝙚𝙨 𝙢𝙖𝙨𝙦𝙪𝙚𝙨

      7 mars 2025
    • Projection : 𝙀́𝙥𝙤𝙪𝙨𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙘𝙤𝙣𝙘𝙪𝙗𝙞𝙣𝙚𝙨 de Zhang Yimou

      5 mars 2025
    • Exposition Anatomie du labo 17 à Riom

      3 mars 2025
    • Reprise du palmarès labo 2025 à Riom

    • Carte blanche à Sixtine Dano

      26 février 2025
    • Journée du prix du public « Les Yeux doc »

      25 février 2025
    Blog
    Le festival 2020 dans la lucarne
    Night cap with She Runs
    0
  • FR
  • EN
  • Ville de Clermont-Ferrand Département du Puy-de-Dôme Clermont Métropole CNC Ministère de la culture et de la communication Région Auvergne-Rhône-Alpes Europe Media
    Tous les partenaires
    Clermont ISFF | Goûter avec Sol del Llano (Soleil des plaines) | Clermont ISFF
    class="post-template-default single single-post postid-29222 single-format-standard samba_theme samba_left_nav samba_left_align samba_responsive fl-builder-2-8-6-1 thvers_104 framework_99 wpb-js-composer js-comp-ver-7.7.2 vc_responsive"