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  • Breakfast avec La place du mort

    20 janvier 2020
    Festival, Rencontre avec...
    By Abla Kandalaft
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    Entretien avec Victor Boyer, réalisateur de La place du mort

    Que cherchiez-vous à explorer dans la relation entre les deux frères ?
    À l’origine, plus que la relation entre les deux frères, c’était surtout le traumatisme fondateur de Samuel qui m’intéressait : la mort d’un jumeau et le choix arbitraire de l’identité du survivant. Un tel passé en faisait un personnage aux contours mouvants, flous, avec une teinte légèrement fantastique, si bien qu’en écrivant je me plaisais à imaginer qu’il aurait pu sortir d’une nouvelle d’Allan Poe ou de Lovecraft. Il y avait un truc de romantisme noir qui me plaisait bien dans ce personnage et puis un vertige identitaire terrible. C’est après coup, en inventant le personnage d’Alphonse, le fils adopté pour prendre la place du jumeau mort, que le film est devenu une sorte de conte cruel sur la rivalité fraternelle avec pour ligne de fuite la possibilité d’un fratricide. Bien que l’histoire du drame appartienne autant à l’un qu’à l’autre (celui qui l’a vécu et celui en charge de le réparer), seul Alphonse possède la capacité d’en faire récit. Samuel est bloqué dans le traumatisme alors qu’Alphonse l’exploite. C’est là l’élément déclencheur de la folie de Samuel : la sensation de s’être fait voler non seulement sa place mais aussi son histoire. Une phrase dont j’ai oublié l’auteur illustre assez bien cette problématique du récit familial  et de la légitimité de s’en emparer : « La pire chose qui puisse arriver à une famille, c’est un écrivain ! ».

    Y a t-il dans l’histoire des éléments biographiques ou autobiographiques ?
    Il y a quelques éléments autobiographiques dans le film. Par exemple, mon petit frère est vraiment écrivain (mais je ne lui ai jamais tiré dessus avec un fusil de chasse !).

    Parlez-nous un peu du lieu de tournage, de cette grande maison et des bois environnants. Comment les avez-vous trouvés ? Quelles ont été les conditions du tournage ?
    La maison dans laquelle nous avons tourné le film appartient à ma grand-mère. J’en avais des souvenirs très vagues n’y étant pas retourné depuis l’enfance, mais quand j’ai commencé à écrire le film c’est ce lieu qui s’est immédiatement imposé à mon esprit. C’est un endroit où l’on sent suinter de partout les secrets de famille et les fantômes. Mais j’ai inventé les secrets et les fantômes. Contrairement à l’atmosphère du film, celle du tournage était très joyeuse !

    Comment s’est déroulé le casting ?
    Je connaissais déjà Corentin Fila qui est un ami. Pour le rôle de Samuel, je mesurais l’ampleur du défi que pouvait représenter le monologue d’ouverture du film, face caméra, sans coupe, avec une dimension littéraire. C’est ce qui m’a poussé à proposer le rôle à Christophe Montenez, que j’avais admiré plusieurs fois à la Comédie Française et dont j’étais sûr qu’il parviendrait à restituer le texte tel que je le rêvais. Pour les rôles des femmes, j’ai d’abord rencontré Valentine Catzéflis qui m’avait ému dans le très beau film de Jean Paul Civeyrac, Mes provinciales, et c’est elle qui m’a présenté Anne Loiret, qui joue Solange, la mère.

    Quels sont vos futurs projets cinématographiques ?
    Je m’apprête à tourner mon film de fin d’étude de La Fémis. Le film met en scène, le temps d’une soirée, une famille d’industriel réunie dans un manoir qui prépare cyniquement les conditions de sa survie dans un monde qui s’embrase, tandis qu’un commando armé d’activistes écologistes se rapproche dans la nuit pour donner l’assaut. Le fils héritier de la famille est accompagnée de sa nouvelle compagne dont on va découvrir qu’elle est une infiltrée…

    Quelles sont vos œuvres de référence ?
    Je trouve toujours un peu écrasant de placer un film sous l’égide d’un ou plusieurs films de référence. Disons que c’est varié. Pour celui-là je pensais autant à Fanny et Alexandre qu’à Frangins malgré eux !

    Y a-t-il des libertés que le format court métrage vous a apportées en particulier ?
    Je n’ai pas encore réalisé de long métrage donc je n’ai pas vraiment d’élément de comparaison mais je trouve que je fais des courts métrages trop longs ! Et puis quand je fais des films, l’idée de la liberté m’effraie assez, je trouve ça inhibant de pouvoir faire ce qu’on veut, alors que je trouve que les contraintes stimulent… Disons que j’ai hâte de changer de format !

    Pour voir La place du mort, rendez-vous aux séances de la compétition nationale F5.

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