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  • Breakfast avec The Van (Le van)

    19 janvier 2020
    Festival, Rencontre avec...
    By Clotilde Couturier
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    Entretien avec Erenik Beqiri, réalisateur du film The Van (Le van)

    Pourquoi vous êtes-vous intéressé à l’immigration clandestine ?
    L’immigration clandestine est devenue partie intégrante de la culture albanaise ces trente dernières années. Après la chute du régime communiste dans les années 1990, la plupart des Albanais ont émigré vers l’Italie, la Grèce, l’Angleterre et d’autres pays. Au premier abord, on pourrait croire que ce phénomène a uniquement eu lieu à cette époque-là, mais encore aujourd’hui, des personnes tentent d’immigrer dans la clandestinité. C’est la recherche d’une vie meilleure qui a poussé de nombreux Albanais à prendre ce chemin et à vivre dans l’incertitude jusqu’à trouver le signe d’espoir tant attendu. Même des amis à moi ont essayé d’immigrer. Je dois dire que cette idée m’a aussi traversé l’esprit à maintes reprises, mais j’ai fini par la rejeter. Pour moi, il était important de montrer ce besoin d’évasion à travers un jeune personnage qui ne laissera rien aller à l’encontre de son but.

    Comment avez-vous entendu parler des combats de boxe clandestins ?
    Les combats que l’on voit dans le film sont fictifs. Je me suis inspiré d’un documentaire dans lequel des gens installent deux chiens dans le coffre d’une voiture et les laissent se battre le temps que la voiture roule. Ils voient alors quel est le chien le plus fort. Cela m’a marqué et j’ai tenté de transposer ce combat avec des personnes, pour voir ce qui pouvait se passer dans un espace si petit, tout en m’efforçant de rendre cela crédible.

    Comment avez-vous travaillé sur la relation père-fils, et pensez-vous explorer cette relation dans le cadre d’autres projets ?
    Dès le départ, l’histoire allait traiter de la relation entre un père et son fils. Les combats constituaient le contexte permettant de voir jusqu’où chacun des deux personnages était capable d’aller pour ne pas se séparer de l’autre. Puisque le fils ne partira pas sans son père, il se bat aussi pour lui. Et le père doit prendre la décision la plus difficile qui soit. Je voulais voir jusqu’où leur amour pouvait aller et ce que nous, les humains, sommes prêts à faire pour ceux qu’on aime. Même si l’histoire se déroule en Albanie, les sentiments et les émotions que nous partageons avec nos parents sont universels. Ce sont des ressentis auxquels tout le monde peut s’identifier.

    Dans quelle mesure l’absence de la mère a-t-elle joué pour définir les personnages au moment de l’écriture ?
    J’ai écrit intentionnellement l’histoire sans le personnage de la mère. Le père et son fils vivent ensemble depuis de nombreuses années, et le personnage du fils a grandi en observant son père et les choix qu’il a faits. On ressent l’influence que le père a eue sur lui. Le fils devient une autre version de son père, il commence à s’en rendre compte et se met à agir par lui-même. L’absence de la mère crée un grand vide que le père ne peut malheureusement pas combler.

    Pourquoi avez-vous voulu montrer la décision du départ comme une voie à sens unique ?
    Une fois que le fils aura quitté l’Albanie, il n’y aura pas de retour possible. Il sacrifie son corps pour obtenir la somme d’argent lui permettant de se rendre en Angleterre de manière sûre. Si jamais il revenait, il devrait tout recommencer. J’ai toujours imaginé que le fils avait l’impression d’avoir été jeté dans un grand trou. Et dès lors que l’on a réussi à grimper pour en sortir, on le fuit à tout jamais.

    Y a-t-il des libertés que le format court métrage vous a apportées en particulier ?
    J’ai beaucoup aimé travailler avec le format du court métrage et je crois qu’il offre davantage de possibilités pour expérimenter. La structure d’un court métrage est différente de celle d’un long métrage, car il est possible de transmettre une émotion en seulement quelques minutes. Il peut s’agir de trois minutes d’images poétiques qui vous transportent là où vous ne l’auriez jamais imaginé. En revanche, un long métrage a besoin de plus de développement, et l’approche est différente.

    Pouvez-vous me parler de vos références cinématographiques ?
    Pour Le van, notre objectif était d’essayer de se rapprocher le plus possible de la réalité. La caméra était au service des personnages. Nous avons pour cela regardé Un prophète de Jacques Audiard, Amores Perros d’Iñarritu, ainsi que quelques travaux photographiques comme ceux d’Alex Webb. J’aime beaucoup Un prophète et la façon dont ce film nous transporte dans un monde dont on se sent immédiatement partie intégrante. J’espère que nous avons un peu réussi à faire la même chose avec notre film.

    Pour voir The Van (Le van), rendez-vous aux séances du programme F8 de la compétition nationale.

     

     

     

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