Dernier verre avec Sefid poosh (Voile blanc)
Entretien avec Reza Fahimi, réalisateur de Sefid poosh (Voile blanc)
D’où vous est venue l’idée du film ?
C’était à une période où je me suis intéressé au sujet des exécutions par pendaison. J’ai alors décidé de montrer ce genre de condamnation à mort au travers du regard d’un enfant.
Que désiriez-vous explorer à travers l’histoire de Ahmad ?
J’étais fasciné par le personnage de Ahmad, qui tient sa promesse et assume sa responsabilité en dépit de son jeune âge.
Aviez-vous des comédiens en tête ? Comment avez-vous procédé pour le casting ?
Une centaine de volontaires ont auditionné pour les rôles principaux. C’était leur toute première expérience face à la caméra.
Avez-vous des idées pour votre prochain projet que vous puissiez partager avec nous ?
Je travaille sur mon long métrage, qui, si les financements adéquats se mettent en place, commencera bientôt. Il s’agira d’un drame psychologique.
Quel est l’avenir du format court métrage selon vous ?
Le court métrage devient un format à part entière. Faire des courts métrages n’est plus vu comme la première étape avant de faire des longs métrages.
Sefid poosh (Voile blanc) fait partie de la compétition internationale, programme I5.